Le spécialiste de politique et d’économie a analysé ce que la semaine apportera en Argentine dans sa chronique sur Radio Panorama.
En début de semaine, le M. Osvaldo Granados Il a anticipé ce que la semaine apportera en matière politique et économique dans notre pays.
Il a estimé que la grève générale du CGT qui aura lieu jeudi, “c’est difficile à traduire, mais si on regarde l’histoire on se rend compte que la CGT renaît quand le gouvernement n’est pas péroniste”.
“Avec Alfonsine Ils ont mené 13 grèves générales, quelque chose de similaire s’est produit avec De la Rua, Macri et maintenant avec Milei. C’est une constante. Même Meneml’ayant à côté Nouvelle villeil pouvait procéder à des privatisations de toutes sortes mais il y est parvenu, avec quelques protestations de la gauche mais pas de la CGT“, a-t-il rappelé.
Concernant l’un des principaux arguments avancés par les syndicalistes comme motivation Pour réaliser cette mesure de force, il a rappelé que le Impôt sur le revenu affecte “Les bénéfices affectent 8% des travailleurs”
“La CGT assume l’opposition que les politiques n’assument pasqui sont en charge de Congrès. En dehors de tous les changements économiques qui existent”, a-t-il déclaré.
Enfin, il a évoqué le voyage de Javier Milei et Luis Caputo à États Unis. “Ils demandent de l’argent frais parce qu’ils n’en ont pas assez. Les campagnes liquident ce qui est nécessaire parce qu’elles considèrent qu’il faut que le dollar monte, parce qu’il est très bas.”
“Tout est en discussion, il y a beaucoup de difficultés pour arriver à quelque chose. Les complications sont nombreuses et nous devrons l’analyser”, a-t-il conclu.