Le président de l’Association mexicaine des professionnels de l’immobilier (AMPI) de l’entité, Ignacio Flores Lugo, a exprimé son inquiétude quant à la performance actuelle du secteur, soulignant que les projections optimistes qu’on avait eues pour cette année ne se sont pas concrétisées.
Il a souligné divers facteurs qui ont influencé ce scénario, depuis le piratage du Registre de la propriété publique jusqu’aux effets persistants de la pandémie de COVID-19 et aux conditions géopolitiques qui ont affecté les prix de l’immobilier.
Le président de l’AMPI d’Aguascalientes a souligné l’importance du secteur immobilier comme indicateur économique mondial, soulignant que la santé économique d’un pays, d’un État ou d’une région se reflète dans la situation de ce secteur. Il a reconnu que le secteur n’est pas revenu à son canal naturel et s’est dit préoccupé par le manque de progrès au cours du deuxième et du dernier semestre, qui étaient initialement attendus comme plus prometteurs.
Concernant la performance actuelle en termes d’unités placées, il a reconnu que le nombre projeté pour 2023 n’a pas été atteint.Même si une somme d’argent importante a été récoltée l’année dernière, les attentes concernant le nombre de logements estimés pour son placement. Il a indiqué qu’ils analysent attentivement ces chiffres pour mieux comprendre la situation.
--En ce qui concerne la valeur du terrain, Flores Lugo a fourni des données spécifiques pour la municipalité d’Aguascalientes, indiquant une appréciation de 11,8%, tandis que Jesús María se situe entre 11 et 11,5%. Bien que ces chiffres soient inférieurs à la valeur nationale, il a été souligné qu’Aguascalientes se positionne comme l’une des terres les plus chères de tout le Mexique par rapport au revenu de l’État.
Enfin, le président de l’AMPI a souligné son engagement à œuvrer pour améliorer les conditions du secteur immobilier, avec l’espoir que 2024 sera nettement meilleure.
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