Licence accordée pour l’utilisation d’un médicament qui traite et réduit la transmission du VIH

Licence accordée pour l’utilisation d’un médicament qui traite et réduit la transmission du VIH
Licence accordée pour l’utilisation d’un médicament qui traite et réduit la transmission du VIH
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Il s’agit d’une décision historique car elle permettra à environ 36 personnes d’être traitées avec la même valeur que le système paie actuellement pour le traitement d’une personne séropositive.

La Colombie accorde la première licence obligatoire pour l’utilisation par le gouvernement d’un médicament anti-VIH clé.

La Surintendance de l’industrie et du commerce de Colombie a accordé la première licence obligatoire pour une utilisation gouvernementale sur le brevet du dolutégravir, un médicament essentiel pour le traitement du VIH.

Cette décision, issue de la déclaration du ministère de la Santé et de la Protection sociale sur l’intérêt public de ce brevet, marque une étape importante dans la promotion de l’accès aux médicaments vitaux dans le pays.

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Le dolutégravir, recommandé comme première option de traitement par l’Organisation mondiale de la santé, sera désormais accessible à la population résidant en Colombie, en donnant la priorité à des groupes tels que la population migrante, les personnes nouvellement diagnostiquées séropositives, celles en échec virologique et celles qui ont besoin d’une post-exposition. prophylaxie.

Cette mesure vise non seulement à améliorer la qualité de vie des personnes séropositives, mais également à réduire la transmission du virus. De plus, cela s’aligne sur les objectifs de développement durable pour 2030, car une charge virale indétectable réduit considérablement la possibilité de transmission.

La décision s’appuie sur les réglementations internationales et nationales en matière de propriété intellectuelle, démontrant l’engagement de la Colombie en faveur de la protection de la santé publique.

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Avec cette licence, il est prévu que le coût du traitement pour une personne puisse être étendu jusqu’à trente-six personnes, ce qui garantit le droit fondamental à la santé de la population et des migrants résidant dans le pays.

Avec des informations de MinSalud.


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