Dans son profil sur le réseau social
Lorsque le blocus génocidaire (des États-Unis) n’existera pas, parce qu’il tombera sous son propre poids ou parce que nous l’aurons vaincu, nombreux seront ceux qui profiteront de notre Wonder City, a-t-il noté.
Le chef de l’État cubain a ajouté à son message celui de la responsable de l’ONU sur ce réseau social, dans lequel elle a publié une photographie de sa promenade dans la capitale cubaine et a écrit :
À l’approche de la réunion du G20 au Brésil, je recherche des opportunités de collaboration avec Cuba et des acteurs du Sud pour renforcer cette plateforme visant à améliorer l’équité en santé et à mettre fin au sida. #endAIDSby2030.
Díaz-Canel s’est entretenu aujourd’hui au Palais de la Révolution (siège du gouvernement) avec le représentant des Nations Unies, à qui il a présenté ses idées sur la stratégie cubaine pour lutter contre cette maladie.
Il a expliqué au visiteur la projection communautaire et intersectorielle du programme cubain pour faire face à cette maladie.
Dans des déclarations à la presse après la réunion, Byanyima a reconnu que Cuba était à l’avant-garde dans la lutte contre le VIH/SIDA et a rappelé que ce pays des Caraïbes était le premier pays au monde à éliminer la transmission de la maladie de la mère à l’enfant. .
ode/evm
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