“Je t’ouvre, mais ne tire pas!”, les derniers mots à la police de l’homme tué à El Brillante

-

Les habitants de la rue Cardenal Portocarrero à Cordoue, derrière l’avenue Brillante, ont entendu le auteur présumé de l’agression à l’arme blanche à une femme avant qu’elle ne mette fin à ses jours, selon des sources policières : “Je vais vous ouvrir, mais ne me tirez pas dessus”, ont-ils déclaré à ABC. Cela s’est produit lorsque les agents sont venus l’arrêter à son domicile.

Seuls quelques gants en latex noir utilisés sur le trottoir et la porte d’entrée à ouverture forcée par des agents sont les seuls vestiges qui restent visibles à l’œil nu dans le Maison 5, rue Cardenal Portocarrero où a été retrouvé le corps sans vie de cet homme d’origine sud-américaine après avoir infligé quelques coupures avec un couteau à la personne qu’il prétend être son partenaire.

La femme en avait des coupures à la main ainsi que dans l’abdomen et une jambe mais petite entité, selon un autre des témoins consultés par ABC, elle a été secourue sur la terrasse d’un restaurant de la zone où ses blessures étaient recouvertes d’une des nappes du restaurant. “A tout moment, la femme blessée, à l’accent sud-américain, était accompagnée de deux autres femmes qui l’accompagnaient”, ont indiqué ces mêmes sources.

Était le conducteur d’ambulance qu’à ce moment-là il descendait de l’hôpital Los Morales et, en voyant le fourgon de police Elle s’est arrêtée à cette hauteur de cet établissement réputé pour porter secours jusqu’à ce que quelques minutes plus tard, elle soit transférée à l’hôpital par l’équipe 061 malgré le fait que les blessures n’étaient pas graves.

Mais Dans ce cas, rien n’est encore clair, tout est confus, disent des sources judiciaires à ABC. Face à cette incertitude et dans l’attente des premiers résultats de l’autopsie, le Tribunal d’Instruction 7 de Cordoue a ordonné le secret du procès-verbal.

Les voisins de cette petite développement de sept maisons les maisons unifamiliales ne savent pas ce qui s’est passé ni combien de personnes vivaient dans cette maison en location. «On sait seulement qu’ils sont arrivés en décembre, [la casa estaba alquilada por un tercero que no vivía allí y que presentó una nómina] et ils étaient tous étrangers. Il y a toujours un afflux de personnes, peut-être venant de Colombie à cause de l’accent ; Le défunt nous a dit “Bonjour, ma petite fille” et ils ont eu trois pitbulls«, raconte l’un de ces voisins à ABC.

Ce sont précisément ces trois chiens qui ont empêché la Police Nationale d’agir plus rapidement. Même s’ils savaient – selon les voisins – qu’ils seraient encore en vie, ils ont dû attendre les membres du Service de Protection des Animaux de. Sadéco pour pouvoir accéder à l’intérieur de la maison pour les agents. “Peut-être que s’ils étaient arrivés plus tôt, le voisin aurait été en vie et ne se serait pas vidé de son sang car il leur a fallu beaucoup de temps pour prendre les chiens”, disent ces habitants de l’urbanisation.

Les premières informations indiquent que cet homme qui occupait ou à qui la maison était sous-louée depuis décembre dernier est arrivé à briser la tranquillité de cette petite urbanisation. «On entendait des bagarres, il y avait un bébé d’un an ou deux dont on ne sait pas si à cause de la musique forte de l’aube, ou parce qu’il n’arrêtait pas de pleurer, plusieurs femmes vivaient là aussi ; “Tout était très négligé et le mouvement des gens qui allaient et venaient était constant”, soulignent ces mêmes sources.

Comme ABC l’a appris, lors de la perquisition effectuée hier par Autorité judiciaire Après que le corps ait été enlevé, la maison ressemblait à une « cabane » à l’intérieur, avec beaucoup de saleté et tout était très négligé, rien à voir avec le reste des habitants du quartier. «Nous ne savons pas combien y vivaient, ni la relation des femmes Qu’ils soient de la famille ou non… nous n’avions aucune relation avec eux sauf pour leur demander de faire attention aux pitbulls qui pouvaient attaquer nos petits chiens ou nos enfants”, raconte un autre de ces habitants de l’urbanisation.

#Colombia

-

NEXT Les habitants de Catamarca disent au revoir à Silvia Pacheco en ligne