Réclamation pour les excédents de Salto Grande : le bureau du procureur général s’est prononcé sur la compétence du tribunal

Réclamation pour les excédents de Salto Grande : le bureau du procureur général s’est prononcé sur la compétence du tribunal
Réclamation pour les excédents de Salto Grande : le bureau du procureur général s’est prononcé sur la compétence du tribunal
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Le Bureau du Procureur général a statué sur la compétence de la Cour suprême de justice dans le cadre de la réclamation d’Entre Ríos concernant les excédents de Salto Grande. Selon l’avis de la procureure Laura Mercedes Monti, en date de ce lundi 13 mai, la plus haute instance judiciaire du pays doit déterminer si le gouvernement national est responsable du paiement à la province d’environ 2 100 000 000 de dollars et d’intérêts pour la production d’énergie à Salto Great, selon à la décision qu’il a acceptée ANALYSE.

La dette réclamée par la province est imputable aux troisième et quatrième trimestres de 2023 et aux mois de janvier et février 2024. La résolution du Bureau du Procureur général rappelle que « par la loi 13 213 du 12 avril 1948, l’accord argentin-uruguayen concernant l’utilisation des rapides du fleuve Uruguay, dans la région de Salto Grande. Le 5 février 1998, continue-t-on, l’État national et les provinces d’Entre Ríos et de Corrientes ont célébré un accord-protocole, par lequel les juridictions locales s’engageaient à créer un « Fonds spécial Salto Grande » destiné à l’exécution de travaux complémentaires. dans l’accord international susmentionné et ceux qui visent à atténuer les effets négatifs de l’exploitation du complexe, ainsi que ceux qui sont propices au développement régional.

Plus loin, il est indiqué que « par la loi 24.954, il a été établi que les excédents doivent être répartis selon la proportion suivante : 67,5% pour la province d’Entre Ríos, 27,5% pour la province de Corrientes et, les 5% restants, pour la province d’Entre Ríos. Province de Misiones. En outre, ajoute-t-il, l’« inapplicabilité » de toute autre norme contraire à la « viabilité de l’accord-procès-verbal » approuvé par cette loi a été établie et que toute modification de la Convention et du Protocole additionnel de 1946 (et de ses amendements) doit être approuvé par la loi du Congrès national.

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