Pourquoi la classe moyenne de la zone métropolitaine ressent désormais davantage l’inflation

Pourquoi la classe moyenne de la zone métropolitaine ressent désormais davantage l’inflation
Pourquoi la classe moyenne de la zone métropolitaine ressent désormais davantage l’inflation
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Bien que les familles consacrent une plus grande part de leurs revenus à l’achat de nourriture, en avril les services publics et privés ont eu un plus grand impact dans les données d’inflation dans la capitale et le Grand Buenos Aires (GBA). Pour cette raison, le Les ménages salariés ou professionnels de la classe moyenne de la Région Métropolitaine « ressentent » davantage l’inflationbien que l’indice moyen soit à un chiffre.

D’après les données INDEC, il apparaît que L’inflation moyenne dans la capitale et la GBA était de 9,2 % (contre 8,8% moyenne nationale), l’indice le plus élevé par rapport au reste des régions. Et tandis que les prix des denrées alimentaires ont augmenté de 5,7 %, le logement, électricité, gaz et eau et combustibles enregistré un augmentation de 40,4%.

À leur tour, sur l’inflation moyenne de 9,2%, l’alimentation était responsable de 1,6 points, tandis que le logement, l’eau, l’électricité, le gaz et les autres combustibles étaient responsables de 2,62 points. Dans les dépenses de logement, le poids des dépenses augmenter bien au-dessus du revenu des propriétaires ou des familles qui louent, alors qu’il reste encore nouvelles augmentations de taux en attente dans les prestations.

Au cours des quatre premiers mois de cette année, dans la Région Métropolitaine, le la nourriture a augmenté de 59,9% et ces services ont presque doublé : 114,9%, suivi des communications avec 106,5% et de l’éducation avec 84,7%.

Pendant ce temps, seuls les taux de gaz, électricité et autres carburants ils avaient un augmentation de 261,6%.

Ce la disparité persisterait dans les mois à venir puisque les tarifs des services publics et privés dans la Région Métropolitaine ont encore un chemin à parcourir, selon les annonces officielles elles-mêmes. Et les prix des denrées alimentaires marquent un ralentissement parce qu’ils ressentent le réduction du pouvoir d’achat des familles à faible revenu et de celles de la classe moyenne. À cela s’ajoute la détérioration des niveaux d’emploi, même parmi le personnel enregistré.

UN atténuant C’est ce qui pourrait arriver avec le prépayé si la majoration est appliquée en fonction de l’inflation cumulée. Entre janvier et avril, ils ont enregistré une augmentation du quota de 141,8% en Capital et GBA contre une inflation moyenne de 67,4%.

Pour sa part, le panier familial total d’une famille type de la Capitale et de la GBA a totalisé 828 158,19 $ en avril, alors que la moitié des travailleurs inscrits ont un salaire brut d’environ 700 000 $. Ainsi, malgré le ralentissement des prix alimentaires, les niveaux de pauvreté restent supérieurs à 50 %.

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