Le Bureau du Procureur général a organisé une grande journée de justice réparatrice à Santa Marta. 40 citoyens impliqués dans des situations de violence domestique ont participé à la réunion.
Cet espace a réuni la directrice de section Madeleyne Pérez, des conseillers, des procureurs (Cavif), le commissariat de police familiale et des fonctionnaires de l’Université Coopérative de Colombie qui ont apporté leur soutien à travers leur cabinet juridique.
Les personnes impliquées, dont deux femmes, ont publiquement exprimé leurs regrets et ont demandé pardon à leur partenaire et à leur famille pour les dégâts causés. Au cours d’un atelier psychosocial avec le personnel de l’Université Coopérative, un accord a été signé visant à répondre aux besoins et responsabilités individuels et collectifs des parties. De plus, cela a permis la réinsertion de la victime et du délinquant dans la communauté.
«Grâce à ces actions, on réalise la restitution de la cellule familiale, pilier fondamental du tissu social. Cet effort se traduit par la création d’espaces où le pardon et la réconciliation sont possibles. Il s’agit d’une démonstration claire de l’engagement institutionnel du Bureau du Procureur général à contribuer activement à la construction d’un département plus juste et plus solidaire », a indiqué le directeur de la section Magdalena.
