Pension alimentaire pour enfants : un père doit subvenir aux besoins de son fils handicapé même s’il a 28 ans

Pension alimentaire pour enfants : un père doit subvenir aux besoins de son fils handicapé même s’il a 28 ans
Pension alimentaire pour enfants : un père doit subvenir aux besoins de son fils handicapé même s’il a 28 ans
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La Cour d’appel pour les affaires civiles et commerciales de Junín a statué dans une affaire de pension alimentaire pour un homme handicapé de 28 ans (Autorisation : Diario Democracia)

Dans le cadre d’un jugement alimentairele Tribunal d’appel civil et commercial de Junín a jugé que le père d’un jeune homme de 28 ans atteint invalidité doit continuer à fournir entretien malgré sa majorité. Pour cela, les femmes de chambre ont analysé que le fils n’était pas en mesure de subvenir à ses besoins. vos propres ressources et que, pour cette raison, il était dans un situation de « vulnérabilité » particulière. Ils affirmèrent également que l’obligation de subsistance mensuelle, supportée par le parent, ne découlait pas de son responsabilité parentale mais du “principe de solidarité familiale», qui vise la « jouissance effective des droits fondamentaux de tous les membres de la famille.

L’affaire en question a débuté devant le Tribunal de paix du district de Rojas, province de Buenos Aires, pour une demande de PAR EXEMPLE. de sorte que la cessation de la quotas alimentaires sous sa responsabilité, situé dans le 25% de votre salaireen faveur de ses deux enfants, DT et L.S.alors que tous deux avaient déjà atteint l’âge de la majorité avec 28 et 25 ans respectivement.

Le juge Luciano Callegari a donné lieu à cette réclamation, puisque le Code national civil et commercial établit que les parents sont tenus de accorder de la nourriture à ses enfants jusqu’à 25 anss’ils étudient et que cette préparation les empêche de « se doter des moyens nécessaires pour subvenir à leurs besoins de manière indépendante ».

Dans ce contexte, est intervenue la mère de DT, constituée comme «soutien judiciaire» de son fils en vertu de son «retard mental modéré» enregistré dans son certificat provincial d’invalidité. La femme a décidé de contester le jugement de première instance qu’elle juge « arbitraire et injuste », dans la mesure où le jeune homme n’a pas « la possibilité de subvenir à ses besoins ». ressources pour leur subsistance». Dans ses griefs il a affirmé que le juge aurait dû procéder à une analyse des faits «avec une perspective de handicap».

Le dossier a ainsi été porté devant la Cour d’appel pour les affaires civiles et commerciales de Junín, composée de juges Ricardo Castro Durán et Gaston Volta. Le premier d’entre eux était chargé d’analyser le contexte de l’affaire et, avant de justifier son vote, il a annoncé : « Le recours doit être accueilli favorablement. Comme le souligne l’appelant, les circonstances particulières entourant la situation vulnérable où se trouve D., mérite la réception du grief.

Le jeune homme a présenté un certificat d’invalidité pour retard mental modéré, troubles de la personnalité et épilepsie.

Dans un arrêt publié cette semaine par le blog Mots de droitle juge Durán a expliqué que le obligation alimentaire du père envers ses deux enfants découle d’un arrêt rendu en 2010, dans lequel un accent particulier a été mis sur la fourniture DT avec «assistance médicale et consommation de médicaments» avec la collaboration d’un professeur intégrateur avec le soutien d’un équipe pédagogique.

Le magistrat a également souligné qu’un juge aux affaires familiales a émis en 2018 la restriction de la capacité juridique du jeune homme, le laissant sous un dispositif de soins et d’accompagnement dirigé par sa mère en vertu de son diagnostic de «retard mental modéré, déficience comportementale d’un degré non précisé. Troubles des habitudes et des impulsions. Troubles de la personnalité et du comportement dus à une maladie, une blessure ou un dysfonctionnement cérébral. Épilepsie».

Ainsi, le juge Durán a déclaré que, à en juger par l’état et les soins exclusifs de DT sous sa mère, le Convention relative aux droits des personnes handicapéesdont hiérarchie constitutionnelle acquise grâce à la loi 27 044, et qui impose aux magistrats « l’obligation de résoudre dans une perspective de handicap ».

« L’article 28, paragraphe 1 du présent Conventionpertinent à ce stade – a déclaré la femme de chambre -, établit que « Les États parties reconnaissent la droit des personnes handicapées à un niveau de vie suffisant pour eux-mêmes et leurs famillesqui comprend une alimentation, des vêtements et un logement adéquats, ainsi que l’amélioration continue de leurs conditions de vie, et adoptera les mesures pertinentes pour sauvegarder et promouvoir l’exercice de ce droit sans discrimination fondée sur le handicap.

Il précise par ailleurs : « De ce point de vue, même si l’obligation alimentaire cesse de plein droit lorsque l’enfant atteint vingt et un ou vingt-cinq ans, si vous êtes formé ; s’il s’agit d’une personne affectée en sa qualité qui, comme D., ne peut pas subvenir à ses besoins, cette obligation doit être maintenuenon basé sur les devoirs émanant du responsabilité parentalemais en conséquence du respect des obligations inhérentes au principe de solidarité familiale».

Ce principe, cité par le juge, correspond à la « jouissance effective de la Droits fondamentaux de tous les membres du famille». “C’est pour cette raison”, a-t-il conclu, “compte tenu de l’application obligatoire d’une perspective de handicap et comme mesure raisonnable pour sauvegarder le droit à un niveau de vie suffisant de D., qui se trouve dans une situation situation particulière de vulnérabilité“Au fur et à mesure que j’avançais, il convient de laisser une place au recours sous traitement.”

Après l’avènement du juge Volta, la Cour d’appel de Junín a annulé le cessation des quotas alimentaires concernant son fils aîné, et a confié au magistrat d’origine, « après accréditation et justification du besoins pour couvrir D. et le revenu d’EG, procédez à la publication d’une nouvelle déclaration.

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