Pendant que Milei voyage en Italie, Guillermo Francos restera à Buenos Aires pour débloquer la loi des bases

Pendant que Milei voyage en Italie, Guillermo Francos restera à Buenos Aires pour débloquer la loi des bases
Pendant que Milei voyage en Italie, Guillermo Francos restera à Buenos Aires pour débloquer la loi des bases
-

Le gouvernement national fait face à une semaine où il y aura une forte activité sur le front international et national, et pour cela, le principal protagoniste de l’agenda sera le président. Javier Milei et le chef de cabinet, Guillermo Francos.

Dans le but de consolider le message au monde selon lequel le pays avance sur la voie de l’ouverture économique, le président se rendra en Italie mercredi prochain, où participera au sommet des dirigeants du G7invité par le Premier ministre et hôte du pays, Giorgia Meloni.

En même temps, sur le territoire national, Francos sera chargé de commencer à débloquer la Loi de Bases qui, 6 mois après sa présentation, continue à être bloquée au Sénat ; après avoir rebondi lors de la première tentative en février et après avoir subi de nombreuses modifications qui ont permis son approbation par les députés et l’avis de la commission au Sénat.

Milei, qui vient de six mois de forte activité internationale, mais qui gravite surtout parmi les dirigeants d’entreprises et les mouvements politiques ultra-conservateurs, cherchera à prendre pied par le dialogue avec des poids lourds de la politique mondiale tels que les présidents. Joe Biden (États Unis), Emmanuel Macron (France), Justin Trudeau (Canada) et Meloni elle-même.

Le débat rencontre des difficultés pour le parti au pouvoir.

[El gran ausente, con el objetivo de la primera victoria parlamentaria]

La délégation présidentielle n’aura pas le nouvel homme fort du Cabinet, puisque Francos restera à Buenos Aires, où mercredi les sénateurs commenceront à débattre de la Loi de Bases et du paquet fiscal.

La nouvelle délibération s’est révélée mouvementée malgré l’opinion majoritaire obtenue en séance plénière des commissions, car il règne un climat de désaccord entre l’opposition au dialogue et le péronisme intransigeant avec de nombreux articles des projets de loi.

Bien que des changements aient déjà été introduits au sein des députés et avant la décision, les négociations pour son approbation complète continueront d’être ardues.

Certains des changements demandés sont l’exclusion d’Aerolíneas Argentinas et de Correo Argentino de la liste des entreprises à privatiser; et il existe également des divergences concernant la restitution de l’impôt sur le revenu, après que le gouvernement n’a pas accepté d’exonérer de cet impôt les provinces patagoniennes, qui refusent de rétablir la quatrième catégorie d’impôt.

Dans sa fonction de ministre de l’Intérieur, Francos était déjà l’un des principaux – sinon le principal – interlocuteurs du gouvernement national auprès des gouverneurs et de leurs évêques au Congrès.et on lui doit la décision prise il y a quelques semaines, alors que la continuité du projet vacillait ainsi que les chances du gouvernement de remporter sa première victoire parlementaire.

Anticipant que les textes doivent revenir aux députés en raison des réformes promues à la chambre haute, l’objectif du parti au pouvoir est d’obtenir leur approbation le plus rapidement possible. Sa dilatation prolongée a déjà fait échouer le Pacte de Maiaprès quoi le but est de le sortir le plus rapidement possible.

Dans cette entreprise, Casa Rosada n’a pas exclu même de proposer l’élimination des compagnies aériennes de la liste des entreprises à privatiser pour obtenir un changement de position des opposants au dialogue qui ont manifesté contre l’ensemble de l’article.

En collaboration avec le directeur de cabinet adjoint, José Rolandiet le secrétaire à la planification stratégique, Maria Ibarzabal Murphy, Francos est resté dans le pays en tant que premier représentant du président devant le Congrès. Une relation qui, comme chacun le sait, n’est pas du tout amicale.

En livrant les compagnies aériennes, l’exécutif entend non seulement approuver le segment de la privatisation, mais aussi éviter une escalade des demandes de la part des secteurs du secteur DUC, Nous formons une coalition fédérale et Innovation fédéraleutilisant comme levier le rejet quasi unanime du péronisme et la possibilité d’y adhérer.

Cependant, récemment, le chef d’état-major s’est exprimé dans une autre direction. « L’Argentine n’a pas d’argent et les ressources doivent être rationalisées, tout ce qui peut être géré par le secteur privé sans dépenses de l’État doit être fait de cette façon »a-t-il déclaré ce dimanche à l’émission Mirtha Legrand.

Depuis l’Europe, où il prononcera un bref discours sur l’intelligence artificielle, Milei restera connecté à ce qui se passe à Buenos Aires, aux côtés du secrétaire général de la présidence, Karina Mileïle chef de son Conseil des conseillers économiques, Demian Reidelle chancelier, Diane Mondinoet son documentariste, Santiago Oríaentre autres compagnons de l’entourage.

-

PREV Les autorités immobiles face à la disparition de mineurs à Casanare
NEXT TRIBUNAUX D’AGRESSIONS SEXUELLES CORDOUE | Accepte la prison pour avoir agressé sexuellement une soignante dans un foyer