Trois membres du Clan del Golfo sont envoyés en prison pour un massacre à Casanare

Trois membres du Clan del Golfo sont envoyés en prison pour un massacre à Casanare
Trois membres du Clan del Golfo sont envoyés en prison pour un massacre à Casanare
-

Photo | Tiré de elinformador.com.co | LA PATRIE

L’année dernière, des membres du Clan del Golfo ont perpétré un massacre qui a fait trois morts à Villanueva (Casanare).

EFE | LA PATRIE | Bogotá

Un juge a envoyé trois membres du Clan du Golfela principale bande criminelle du pays, pour sa responsabilité dans le massacre de trois personnes l’année dernière à Villanueva (Casanare), a rapporté le parquet ce jeudi.

Il s’agit de Ligia Ospina Rodríguez, alias Libis ; Gilberto Echeverry Arenas, dit Pueblo, et José David Trillos Ortiz, qu’ils appellent Costeño, sont membres du Groupe Gonzalo Oquendo Urrego du Clan du Golfeaccusé d’avoir exécuté des crimes et coordonné des activités liées au trafic de drogue en Casanare et ButLe parquet l’a détaillé dans un communiqué.

Selon l’organisme accusateur, Ospina Rodríguez était responsable de ordonner les meurtres et gérer la vente de droguetandis qu’Echeverry Arenas et Trillos Ortiz travaillaient comme groupe de tueurs à gagesce sont donc eux qui, apparemment, ont commis le crime.

“Il parait, les trois victimes ont été assassinées car ils n’auraient pas respecté les directives et restrictions imposées par le clan du Golfe dans la région”, ajoutent les informations.

Pour ces faits, Les trois détenus ont été inculpés des délits d’homicide aggravé et de fabrication, trafic et possession d’armes à feu ou de munitions aggravées.des accusations qui n’ont pas été acceptées par ces personnes.


Faire Cliquez ici et trouvez plus d’informations sur LA PATRIA.

Suivez-nous sur Facebook, Instagram, Youtube, X, Spotify, TIC Tac et le nôtre chaîne WhatsAppvous recevez ainsi les dernières nouvelles et plus de contenu.


#Colombia

-

PREV Le dilemme entre parcelles productives et urbanisation
NEXT Célébration de la Journée de l’écrivain avec Damián Quilici : « La littérature m’a sauvé »