La JEP a amnistié le maire de Campoalegre pour le délit de port d’armes

La JEP a amnistié le maire de Campoalegre pour le délit de port d’armes
La JEP a amnistié le maire de Campoalegre pour le délit de port d’armes
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Photographie d’archives sur laquelle était enregistré le logo de la Juridiction Spéciale pour la Paix en Colombie (JEP). EFE/Carlos Ortega

La Juridiction Spéciale pour la Paix (JEP) a accordé l’amnistie au maire de Campoalegre, Víctor Ramón Vargas, pour le délit de port d’armes à usage personnel, pour lequel il avait été condamné en mai 2000, selon les informations obtenues par les médias colombiens. Le temps.

La décision a été rendue par la Chambre d’amnistie ou de grâce, présidée par la juge Diana María Vega.

Cet avantage judiciaire comprend également la demande à la police, au bureau du procureur général, à l’Inpec et au bureau du contrôleur d’éliminer de leurs systèmes les dossiers criminels, disciplinaires et fiscaux de Vargas, un ancien membre des FARC.

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La JEP a souligné que, même si sa situation juridique est définitivement résolue, Vargas est qualifié pour occuper des postes électifs.

La Chambre d’amnistie examine actuellement d’autres crimes pour lesquels Vargas a été reconnu coupable dans le passé. L’Unité d’enquêtes et de poursuites (UIA) du JEP a été chargée d’élargir les informations sur ses processus.

Concernant les anciens combattants des FARC qui ont adhéré à l’accord de paix de 2016, la JEP a souligné que plus de 11 700 d’entre eux ont bénéficié d’une amnistie.

Parmi eux, plus de 734 ont été amnistiés par la Chambre d’amnistie ou de grâce de la JEP, 9 600 par décret présidentiel après la signature de l’accord et 1 400 par décisions de la justice ordinaire.

La Cour a rappelé que, étant donné que Vargas est couvert par la loi Justice et Paix, l’interprétation de son cas doit être approfondie.

Enfin, la Chambre d’amnistie ou de grâce a indiqué avoir reçu 7 500 dossiers, dont 1 900 sont en cours. Cela indique qu’environ 75 pour cent des procès ont été résolus par les magistrats de cette section du JEP.

La Juridiction Spéciale pour la Paix (JEP) a officiellement ouvert l’enquête sur l’affaire connue sous le nom de « Parqueadero Padilla » et les financiers du paramilitarisme à Antioquia, avec la convocation à témoigner de Jacinto Alberto Soto, alias « Lucas », qui était le principal financier. de la Maison Castaño.

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La Chambre de Reconnaissance de la Vérité, de la Responsabilité et de Détermination des Faits et de la Conduite, au milieu du Cas n°08, a ordonné la pratique du témoignage confidentiel de M. Soto Toro.

L’article 7 transitoire de la loi législative 01 de 2017 est celui qui a donné naissance à la Chambre de reconnaissance susmentionnée, en lui attribuant la compétence de développer son travail sur la base de « critères de priorisation élaborés en fonction de la gravité et de la représentativité des délits et du degré de responsabilité qui y est associé. .»

Dans ce cadre, la mobilité verticale du juge Gustavo Salazar Arbeláez et de son équipe de travail, de la Section de première instance pour les affaires d’absence de reconnaissance de la vérité (SAR), à la Chambre de reconnaissance a été approuvée. Cette mobilité a été validée conformément à l’Accord d’Administration n°038 du 1er novembre 2023, et aura une durée de dix-huit mois.

Dans le document, la JEP souligne que cet ajustement organisationnel est une étape nécessaire pour garantir l’efficacité de la clarification des faits et des responsabilités impliquées.

L’enquête sur l’affaire du Parqueadero Padilla se déroule au milieu d’une série de processus visant à établir des liens et des financements liés aux activités paramilitaires dans la région d’Antioquia. Cette démarche se déroulera dans des conditions strictes de confidentialité, dictées par la nature du témoignage réservé.

La convocation de Jacinto Alberto Soto, alias « Lucas », représente une étape significative dans la recherche de la vérité sur le financement et le soutien logistique des groupes paramilitaires. Soto, dans son rôle de directeur financier, avait une connaissance approfondie du flux des ressources et de la gestion financière de Casa Castaño, l’une des structures criminelles les plus importantes du paramilitarisme en Colombie.

L’avancée de cette enquête est suivie de près par les victimes du conflit dans la région.

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