DRAPEAU LGTBI+ MAIRIE DE CORDOUE | Un rapport du Secrétariat soutient le retrait du drapeau LGTBI+ de la séance plénière de Cordoue

DRAPEAU LGTBI+ MAIRIE DE CORDOUE | Un rapport du Secrétariat soutient le retrait du drapeau LGTBI+ de la séance plénière de Cordoue
DRAPEAU LGTBI+ MAIRIE DE CORDOUE | Un rapport du Secrétariat soutient le retrait du drapeau LGTBI+ de la séance plénière de Cordoue
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Un rapport du Secrétariat soutient le retrait du drapeau LGTBI+ de la séance plénière de CordoueAJ GONZALEZ

UN rapport rédigé, à la demande de la Mairie de la Mairie de Cordoue, par le secrétaire général de l’institution, Valeriano Lavela, approuve le retrait dele drapeau LGTBI+, que le conseiller Antonio Hurtado avait placé sur le banc socialiste de la plénière du conseil municipal.

Comme indiqué dans le document auquel Diario CÓRDOBA a eu accès, une demande a été reçue de la Présidence de la Société pour que “émettre un rapport légal en ce qui concerne l’interdiction légale ou non que certains symboles puissent être affichés dans la salle plénière autres ou différents de ceux qui peuvent être utilisés et utilisés avec le tenue vestimentaire ou vêtements personnels.

Le texte rédigé par le secrétaire fait référence à différentes résolutions judiciaires pour étayer sa conclusion, à savoir que Ils ne peuvent pas être agités ou placésà l’intérieur de salle plénière de la très excellente Mairie de Cordoue, Même s’il s’agit des sièges ou des sièges d’un certain groupe politique municipal ou d’un certain capitulaire, aucun drapeau, bannière, insigne ou symbologie différente à celui correspondant à la nation espagnole, au drapeau correspondant à la Communauté autonome d’Andalousie, au drapeau correspondant à l’Union européenne, pas même l’emplacement du drapeau d’identification du LGTBIQ+ ».

De l’avis du responsable, c’est une autre question « et ne violerait pas la réglementation en vigueur dans l’affaire évoquée dans le présent avis, qui un certain capitulaire peut incorporer des vêtements ou une tenue vestimentaire qu’il porte certains accessoires lors de sa présence à une séance plénière donnée (), à condition qu’ils ne soient pas discriminatoires ou contraires aux droits et libertés constitutionnels.

L’un des arrêts qui soutiennent l’appréciation du secrétaire de Cordoue est celui de la troisième chambre du contentieux administratif de la Cour suprême, en date du 26 mai 2020, dans lequel il établit comme doctrine que « ce n’est pas compatible avec la Constitution et cadre juridique actuel, et notamment avec le devoir d’objectivité et de neutralité des administrations publiques, l’utilisation, même occasionnelle, de drapeaux non officiels à l’extérieur des bâtiments et des espaces publics, même lorsqu’ils ne remplacent pas le drapeau, mais coïncident avec celui-ci d’Espagne et les autres instituées légalement ou statutairement.

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