Un juge de Géorgie envisage de révoquer la libération sous caution d’un coaccusé de Trump, Harrison Floyd

Un juge de Géorgie envisage de révoquer la libération sous caution d’un coaccusé de Trump, Harrison Floyd
Un juge de Géorgie envisage de révoquer la libération sous caution d’un coaccusé de Trump, Harrison Floyd
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Une décision contre M. Floyd pourrait avoir des répercussions sur M. Trump, qui est impliqué dans des batailles concernant les ordonnances de silence dans d’autres affaires civiles et pénales contre lui. L’accord de cautionnement de M. Trump en Géorgie précise qu’il « ne fera aucun acte », y compris en publiant des publications sur les réseaux sociaux, « pour intimider toute personne dont il sait qu’elle est coaccusée ou témoin dans cette affaire ou pour entraver de toute autre manière l’administration de justice.”

Dans leur dossier, les avocats de M. Floyd ont souligné quelques-uns des messages publiés par M. Trump sur Social Truth. L’une a été faite peu de temps après qu’un autre coaccusé, l’avocat Sidney Powell, ait conclu un accord de plaidoyer.

M. Trump a écrit dans son message que Mme Powell « faisait partie des millions et des millions de personnes qui pensaient, et qui, en nombre toujours croissant, pensent encore, à juste titre, que l’élection présidentielle de 2020 a été truquée et volée ». Il a également écrit que Mme Powell « N’ÉTAIT PAS MON AVOCAT ET NE L’A JAMAIS ÉTÉ », contredisant l’un de ses https://twitter.com/realdonaldtrump/status/1327811527123103746 à partir de 2020.

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La semaine dernière, les procureurs fédéraux ont demandé à une cour d’appel de Washington d’approuver une ordonnance de silence imposée à M. Trump dans son affaire d’ingérence dans les élections fédérales, affirmant que sa « longue histoire » de ciblage d’adversaires sur les réseaux sociaux conduisait souvent à des dangers dans le monde réel.

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L’ordonnance de silence a été suspendue ce mois-ci par la cour d’appel, car elle examinait si la juge de première instance présidant l’affaire, Tanya S. Chutkan, avait eu le droit de l’imposer.

Le mois dernier, le juge présidant le procès pour fraude civile de M. Trump à New York lui a infligé une amende de 10 000 dollars pour avoir violé une ordonnance de silence dans cette affaire, après que l’ancien président ait fait des commentaires aux journalistes que le juge considérait comme une attaque contre un employé du tribunal.

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