Lola Indigo et le feu latin allument la mèche du Festival du Partage

Lola Indigo et le feu latin allument la mèche du Festival du Partage
Lola Indigo et le feu latin allument la mèche du Festival du Partage
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La grenadine est passée Lola Indigo discrètement par l’usine ‘Operación Triunfo’, expulsée à la première occasion lors de l’édition 2017, rien à voir avec ce qu’il trouve maintenant lorsqu’il monte sur scène : des milliers et des milliers d’applaudissements et de hanches qui suivent ses chansons qui reproduisent ce bien connu formule de pop urbaine avec quelques surprises (certaines “chienne” se faufile là-dedans). Ce vendredi, avec la responsabilité de clôturer une fête, celle de la Fête du Partage, qui brûlait depuis le début de l’après-midi avec surtout le feu latin allumé par les Portoricains Myke Towers et Jhayco. Il était accompagné d’un public qui a rempli le Parc del Fòrum (20 000 participants) prêt à danser et à crier, parmi lesquels d’illustres invités tels que de nombreux joueurs du Barça (Salma Paralluelo, Patri Guijarro, Claudia Pina…), ainsi que certains des joueurs masculins. joueurs (Alejandro Balde, Julián Araújo).

Lola Indigo, avec un label ‘performer’ reconnu, Eh bien, la danse est sans aucun doute l’une de ses forces (il est également passé par le « talent » de danse, « Fama »), il est né d’un énorme « œuf de dragon », une référence à l’album qu’il présente, « El Dragón » (2023). , avec une douzaine de danseurs autour de lui. Son rôle était d’ailleurs indispensable au « show » qui a clôturé aujourd’hui le Share Festival, plein de chorégraphies vertigineuses. Et à plusieurs reprises, ils furent les seuls protagonistes de la scène. Lola Indigo l’a prévenu dès les premières mesures : “C’est un ‘spectacle’ qui essaie non seulement de nous danser, mais aussi de vous faire danser”.. Pendant une heure et une certaine agitation, des tubes ont été joués, beaucoup d’entre eux en collaboration avec d’autres artistes, comme « Diskoteka », « El Tonto », « Me Quedo », ou ce vindicatif et fier « The School Girl ».

Avant la grenadine, qui a tiré le meilleur parti de cet EP d’appellation d’origine appelé “GRX” et sa capacité à reprendre des classiques de la pop flamenco comme “El pantalon”, de Las Chuches, Myke Towers a démontré son attitude et son leadership dès le premier changement. Ce n’est que depuis la scène qu’il s’est livré à un public visiblement fan de la trap qu’il entretient depuis ses origines. Il a ensuite dérivé vers ses morceaux les plus proches du reggaeton pour suivre le sillage de Jhayco, qui s’était produit quelques heures auparavant, tout comme les Colombiens Cali et Dandee, même s’il convient de mentionner séparément comment perdurent les tubes électro-latins de Juan Magán, éternel artiste. , puisqu’il se maintient malgré le fait que le public évolue.

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