Le dollar perd largement face au terme fixe : que va-t-il se passer dans les prochains mois

Le dollar perd largement face au terme fixe : que va-t-il se passer dans les prochains mois
Le dollar perd largement face au terme fixe : que va-t-il se passer dans les prochains mois
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L’heure des équilibres financiers avec la clôture du mois d’avril. Clairement Les investissements en obligations et en actions ont quitté un premier tiers festif avec des hausses de 54% pour le journal le plus apprécié des épargnants locaux comme AL30. Mais pour les plus traditionnels, Les calculs se réduisent au choix entre le dollar et le terme fixe. Ici, les différences étaient notables avec des rendements sur les placements en pesos de 37% contre seulement une hausse de 3% du dollar libre ou bleu.

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D’autres alternatives en pesos étaient même supérieures au dollar, comme le vénéré taux fixe UVA.limité dans sa durée par la BCRA et également dans son montant par les entités elles-mêmes.

Que peut-il arriver

Que peut-il se passer à partir de maintenant ? Il y a plusieurs facteurs dans la danse. Tout d’abord, on entre dans le quartier de la douceur ou “quart d’or” pour le BCRA avec la liquidation des dollars de la récolte de soja.

Cela ramènera le calme sur le marché, la BCRA accumulera des réserves et, grâce à la validité du « blend dollar » (les règlements à l’exportation se font à 80 % à la valeur officielle et à 20 % en espèces avec règlement), le dollar en Bourse. sera sur cet air. Dans les opérations futures chez Matba Rofex Des augmentations mensuelles de 5 % du dollar officiel sont attendues par rapport aux 2 % mensuels promis (pour l’instant) par la BCRA.

Mais il y a une question plus importante. Depuis que la BCRA a abaissé ses taux jeudi dernier, un terme fixe ne rapporte que 4 % par mois. Vaut-il la peine de prendre le risque d’un rendement faible par rapport aux 9% du début de l’année ? En réalité, si le dollar reste stable, hypothèse forte d’ailleurs, un gain de 4% est attractif et c’est ce qu’on obtient aux Etats-Unis en près d’un an..

Il faut également considérer que, Si vous partez d’un avoir en dollars, La vente et l’achat ultérieur nous obligent à assumer une perte de 1% en raison de la différence de prix entre les deux extrémités, acheteur et vendeur, donc Les performances de 4 % sont réduites à trois pour cent.

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Et en ce qui concerne la stabilité du taux de change, l’éventuelle retard du taux de change officiel. Les premières plaintes industrielles apparaissent concernant les coûts élevés en dollars locaux, par exemple dans l’industrie automobile. La mesure du ministère de l’Économie prise vendredi pour réduire les taxes et tarifs sur le secteur l’a souligné.

L’équipe économique est très conservatrice en matière de taux de change. C’est ce que Guillermo Calvo a défini comme « la peur du flottement », mais désormais appliqué à une économie « piégée ».. La peur du « désengagement ». Il est fort probable que les stocks (pour les transferts de bénéfices et les achats de thésaurisation) perdurent au-delà de juin. Premièrement, ils libèrent le paiement des importations. C’est pourquoi il faut s’attendre à ce que le taux fixe batte le dollar, encore quelques mois, mais déjà de “1 à 0” et avec un certain objectif dans les prolongations.

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