Après avoir admis des effets secondaires, AstraZeneca retire son vaccin contre le Covid-19 dans le monde

Après avoir admis des effets secondaires, AstraZeneca retire son vaccin contre le Covid-19 dans le monde
Après avoir admis des effets secondaires, AstraZeneca retire son vaccin contre le Covid-19 dans le monde
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La société pharmaceutique anglo-suédoise AstraZeneca retire son vaccin contre le Covid-19 dans le monde entiersignalé mardi Le télégraphe. Le vaccin ne peut plus être utilisé dans l’Union européenne après que l’entreprise retirer volontairement son « autorisation de mise sur le marché »selon le rapport.

La demande de retrait du vaccin a été soumise le 5 mars et est entrée en vigueur le 7 mai, selon le rapport, qui détaille que Des candidatures similaires seraient déposées au Royaume-Uni dans les mois à venir et d’autres pays qui avaient approuvé le vaccin, connu sous le nom de Vaxzevria.

AstraZeneca n’a pas immédiatement répondu à une demande de Reuters, une agence qui a demandé des commentaires supplémentaires sur cette décision. Selon les médias britanniques, AstraZeneca a admis dans des documents juridiques la possibilité que Votre vaccin Covid-19 pourrait être associé à un effet secondaire peu commun.

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AstraZeneca a admis que son vaccin Covid-19 pouvait provoquer des effets secondaires « rares »

Le 30 avril, la société pharmaceutique avait admis dans des documents juridiques les effets secondaires de son vaccin contre le coronavirus, comme l’ont rapporté des avocats représentant des personnes au Royaume-Uni touchées par le syndrome de thrombose avec thrombopénie (STT) après avoir reçu la dose de cette société.

Toutefois, Le laboratoire pharmaceutique maintient sa position concernant ces effets secondaires « rares ». Ces déclarations sont apparues dans le contexte d’un recours collectif – intenté par 51 personnes – au Royaume-Uni, où il est allégué que le vaccin, développé en collaboration avec l’Université d’Oxford, aurait causé des blessures graves dans certains cas.

L’entreprise avait évoqué la possibilité de cet effet indésirable dans un document publié en 2021, mais nie désormais avoir modifié sa position dans les documents judiciaires. Le procès fait valoir que le vaccin a provoqué de graves réactions indésirables chez certaines personnes, affectant profondément plusieurs familles.

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Le laboratoire a d’abord rejeté ces allégations, mais les a ensuite acceptées dans un document juridique déposé à la Cour supérieure, où a admis que sa formulation “peut, dans de très rares cas, provoquer un TTS”c’est-à-dire un syndrome de thrombose avec thrombocytopénie, pouvant entraîner la formation de caillots dans le sang et une faible numération plaquettaire.

Comme décrit Le télégraphel’entreprise a admis la présence de ces rares cas dans le cadre de sa défense juridique contre le procès Jamie Scott, qui fut le premier à le présenter en 2023, après avoir subi une lésion cérébrale irréversible après avoir été vacciné en avril 2021.

ML/DE

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