MAINTENANT | La séance du Parlement de Cordoue a été levée : l’opposition n’est pas descendue dans les locaux et il n’y avait pas de quorum pour débattre

MAINTENANT | La séance du Parlement de Cordoue a été levée : l’opposition n’est pas descendue dans les locaux et il n’y avait pas de quorum pour débattre
MAINTENANT | La séance du Parlement de Cordoue a été levée : l’opposition n’est pas descendue dans les locaux et il n’y avait pas de quorum pour débattre
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La séance de mercredi du Parlement de Cordoue a été ajournée car elle n’avait pas le quorum nécessaire pour débattre. Les blocs qui confirment le groupe d’opposition n’ont pas voulu s’asseoir sur leurs bancs par crainte qu’un avant-projet soit présenté pour modifier le règlement intérieur de la Monocamérale.

« Cette séance scandaleuse est tombée ! Aujourd’hui, nous avons réussi à mettre fin à l’autoritarisme de Llaryora au Parlement. L’arrogance et les abus institutionnels à Cordoue doivent cesser », a déclaré le législateur Gregorio Hernández Maqueda dès l’annonce de la décision présidentielle de suspendre le débat.

Rodrigo Agrelo a décrit la prétendue manœuvre avec le hastag AsíFromosa sur son réseau social « La PJ et la LLA préparent une manœuvre pour faire avorter l’approbation de la loi qui supprime le péage à La Calera. Ils veulent modifier la réglementation pour exiger les 2/3 au lieu de la majorité absolue (la moitié + 1). La raison : l’opposition est sur le point de rassembler les voix pour l’approbation. #EstonoesFormosa», a-t-il soutenu.

Selon le résident local, l’intention de ce changement interne était d’éviter que le péage de La Calera ne soit pas voté à la majorité automatique et exige les 2/3 des personnes présentes. Quelque chose de non accepté.

A 15h40, l’instance prend la décision de ne pas se réunir. Le parti provincial au pouvoir accuse directement l’opposition de manque de dialogue.

Le projet Spacessi

Le législateur Agustín Spacessi (La Libertad Avanza) promeut une initiative qui modifie le règlement intérieur de la Unicamérale. Le point central de la proposition libertaire est que les projets ou résolutions ne peuvent être mis sur la table que si les 2/3 des voix sont obtenus. Le projet est fonctionnel pour la PJ dans le contexte du choc des forces dû à la parité avec l’opposition. Le libertaire, qui dans les principaux votes agit en tandem avec le parti au pouvoir, a fondé sa proposition sur l’utilisation “excessive” et “souvent injustifiée” du traitement

Le projet de Spaccesi contient une contradiction en soi. L’initiative allait prendre statut parlementaire lors de la séance de ce mercredi sans passer par les commissions. Son auteur doit demander un traitement sur tableaux – ce dont il se plaint – pour aborder la question en plénière. Dans les couloirs de la Monocamérale, on dit qu’il y a une ruée et un soutien de la part du parti au pouvoir.

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