Le SHC demande un rapport sur l’application de la loi sur la protection des témoins

Le SHC demande un rapport sur l’application de la loi sur la protection des témoins
Le SHC demande un rapport sur l’application de la loi sur la protection des témoins
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La façade du bâtiment de la Haute Cour du Sindh est visible sur cette image d’archive. — Site Web/fichier du SHC

La Haute Cour du Sindh (SHC) a ordonné mercredi au ministère de l’Intérieur de soumettre des commentaires concernant l’élaboration des règles de la loi sur la protection des témoins du Sindh et d’autres exigences prévues par la loi sur la protection des témoins.

Cette directive faisait suite à une pétition demandant l’application de la loi sur la protection des témoins dans la lettre et dans l’esprit. Le pétitionnaire M Tariq Mansoor a déclaré que la loi sur la protection des témoins du Sindh a été promulguée en 2013, mais que depuis lors, aucun effort sérieux n’a été fait par le gouvernement provincial pour la faire appliquer.

Mansoor a déclaré que le gouvernement provincial n’a pas lancé de programme de protection des témoins, formé un comité de protection des témoins, établi une unité centralisée de protection des témoins dans le ministère de l’Intérieur, ni nommé d’agents de protection des témoins.

Il a indiqué qu’en 2014, le gouvernement fédéral avait publié un Plan d’action national, dans le cadre duquel diverses décisions avaient été prises, notamment la refonte et la réforme du système de justice pénale.

Il a également déclaré que le Pakistan est le pays le plus touché par le terrorisme, mais qu’aucune mesure n’a été prise pour faire face aux poursuites pénales des suspects de terrorisme. Il a souligné que la situation de l’ordre public se détériore et que les crimes odieux, notamment les vols à l’arrache, les vols, les enlèvements contre rançon et les meurtres, se multiplient à Karachi, mais qu’aucune mesure concrète n’a été prise par le gouvernement provincial pour réduire ces crimes ou pour fournir protection des témoins.

J’ai demandé au tribunal d’ordonner au ministère de l’Intérieur de lancer un programme de protection des témoins, de créer un comité consultatif sur la protection des témoins et une unité de protection des témoins, et de nommer des agents de protection des témoins. Il a également demandé que le gouvernement reçoive l’ordre d’encadrer les règles de la loi sur la protection des témoins.

En déposant des commentaires sur la pétition, le responsable du ministère de l’Intérieur a déclaré que le conseil consultatif et l’unité de protection des témoins ont été créés, mais que le processus de formation d’un comité et de nomination des agents de protection des témoins ne peut pas être achevé car les réponses n’ont pas encore été reçues du service de police concerné. .

Il a déclaré que le projet de proposition de règles de protection des témoins du Sindh, 2016, avait été distribué au procureur général, au département de lutte contre le terrorisme AIG, au département juridique, au département des finances et à l’IGP du Sindh le 20 septembre 2016, mais que leurs réponses n’étaient pas encore attendues. être reçu.

Le ministère juridique a déclaré dans ses commentaires qu’il avait examiné le projet de règles le 25 septembre 2014 et qu’un résumé avait été lancé par le ministère de l’Intérieur pour demander l’approbation ultérieure du gouvernement pour ces règles.

Le ministère juridique a déclaré qu’il ne disposait d’aucune information quant à savoir si ces règles avaient été approuvées et notifiées par le ministère d’origine ou autrement. Le point focal du ministère de l’Intérieur a demandé un délai supplémentaire pour finaliser le projet de règles proposé et pour que le gouvernement envisage de mener à bien d’autres activités requises en vertu de la loi sur la protection des témoins.

Un banc de la division SHC dirigé par le juge en chef Aqeel Ahmed Abbasi a ordonné au ministère de l’Intérieur de soumettre le rapport d’avancement concernant la finalisation du projet de règles pour la loi sur la protection des témoins et d’autres programmes requis à la prochaine date d’audience.

Dans le cadre de ce programme, le gouvernement provincial est tenu de constituer des unités de protection des témoins pour assurer la protection et la sécurité des témoins et leur permettre de dissimuler leur identité.

Le gouvernement est également tenu de leur fournir un logement et une aide financière raisonnable pour obtenir des moyens de subsistance, et d’indemniser leurs héritiers légaux si une personne protégée est tuée en raison de sa participation au programme.

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