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En pleine discussion sur la relance économique, le ministre des Finances, Ricardo Bonillaa fourni plus de détails sur quelle sera la nouvelle réforme fiscale qui sera présentée au Congrès et qu’il fera partie d’un ensemble de mesures visant à offrir des incitations fiscales aux entreprises.
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Le chef du portefeuille économique a souligné que la fiscalité Ce sera un complément aux incitations fiscales oubliées dans les réformes de 2021 et 2022, comme la réduction du taux nominal de l’impôt sur les sociétés, sans toutefois préciser de quel montant.
“Cela signifie que, s’il est réduit, un espace crédible est généré pour que les entreprises avancent et non pas ce que nous avons aujourd’hui, qui est un taux fixe dans lequel tout le monde joue à avoir un taux effectif très bas. Il s’agit de rapprocher les taux effectifs du taux nominal », a déclaré le ministre des Finances.
Bonilla a également annoncé que ce plan vise à générer des stimuli et non à augmenter les impôts. Cela soulève également regardez et révisez la TVA sur les énergies renouvelables et le tourisme.
El ministro señaló que la tributaria aplicará para todo el sector corporativo, pero el objetivo principal es que la Dian haga la tarea de establecer cuáles son los activos de las personas naturales y separarlos de las personas jurídicas para saber cuál es el beneficiario final de cada uno d’eux. L’objectif est d’avoir un équilibre de l’impôt sur le revenu que l’État perçoit auprès des personnes physiques et morales.
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En plus de la nouvelle réforme fiscale, Bonilla a également déclaré que dans ce paquet de mesures, il y avait l’augmentation du quota d’endettement qui a été soumise au Congrès et sur laquelle il a déjà envoyé un message urgent.
« On parle d’un paquet qui est en train de s’organiser. Dans le cadre de ce paquet, le quota de dette a déjà été déposé et présenté au Congrès pour clarifier ce qu’est la dette extérieure de la Colombie, car en 2021, nous nous retrouvons avec un quota de dette, mais avec des dettes hors quota. Aujourd’hui, nous payons ces dettes et elles ne nous laissent pas de place. De plus, nous payons le service de la dette sur ces mêmes dettes. C’est pourquoi nous devons aujourd’hui connaître la dette de la Colombie, qui se traduit par des obligations et des accords avec les organismes multilatéraux », a déclaré Bonilla.
Le plan Cela soulève également l’idée d’investissements forcés. Bonilla a déclaré que la portée du système agricole actuel est en cours d’analyse et l’espace qu’il laisse pour inclure d’autres secteurs. “Pour l’instant, nous sommes en mesure de l’évaluer et nous allons présenter au président des alternatives quant à savoir s’il est possible d’augmenter les investissements forcés ou s’il est préférable de réaliser une autre opération similaire qui nécessite d’investir des ressources dans une banque de développement. », a déclaré le ministre.
