La justice en état d’alerte rejette la loi des bases – Commerce et Justice

La justice en état d’alerte rejette la loi des bases – Commerce et Justice
La justice en état d’alerte rejette la loi des bases – Commerce et Justice
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Le secrétaire général de l’AGEPJ, Federico Cortelletti, a mis en garde contre l’impact qu’aura le remplacement des bénéfices sur les salaires des auxiliaires judiciaires. Il a demandé aux sénateurs de Cordoue de ne pas se laisser extorquer par le gouvernement national et de rejeter l’initiative

Mercredi soir, le gouvernement national a obtenu les signatures nécessaires au Sénat pour l’avis du Loi sur les bases et la réforme fiscale et aspire à le faire traiter dans les locauxla semaine du 10 juin.

Cette situation a mis en alerte les organisations syndicales qui anticipaient que Ils mobiliseront le Congrès pour exprimer leur rejet à l’approbation du projet envoyé au parlement par le gouvernement de Javier Milei.

À Cordoue, L’Association des employés du pouvoir judiciaire de Cordoue (AGEPJ) est en état d’alerte et une série de réunions d’information a commencé avec des travailleurs préoccupés par deux aspects fondamentaux sur lesquels la réforme aura un impact : le rétablissement de l’impôt sur le revenu et la stabilité de l’emploi public.

Sur ce sujet, Federico Cortellettisecrétaire général de l’AGEPJ et secrétaire général de la CGT Régionale de Cordoue s’est entretenu avec Commerce et justice.

– Que pensez-vous de la Loi fondamentale que le gouvernement de Javier Mieli entend approuver au Congrès ?

– Cette loi fondamentale contient un réforme fiscale régressiveparmi eux, le rétablissement de l’impôt sur le revenu qui impliquera le incorporation de 1,2 million de personnes plus au paiement de cet hommage. De plus, en ne prévoyant pas de mise à jour pour le reste de 2024 (elle n’est prévue que pour l’année 2025) Ils pourraient terminer l’année en incluant quelque 2 millions de travailleurs. Il faut dire qu’il y a déjà trois provinces argentines dans lesquelles les employés de la justice paient des bénéfices, nous parlons de Chubut, Río Negro et Buenos Aires, nous insistons sur le fait que le salaire n’est pas un profit.

-Un autre aspect soulevé par cette réforme est lié aux changements du régime de stabilité de l’emploi public. Comment analysez-vous cette problématique ?

– Justement, ce projet touche aussi aspects liés à la stabilité de l’emploi public qui nous inquiètent également et c’est un autre des changements régressifs de cette Loi fondamentale et, pour cette raison, nous sommes en alerte. Nous avons tenu des réunions avec la Fédération judiciaire argentine et avec le Conseil fédéral des Cortés, alarmés par la possibilité de rétablir l’impôt sur le revenu.

– Avec des salaires en baisse, l’impact du remplacement des bénéfices sera-t-il plus important qu’à d’autres occasions ?

– C’est comme ca, Nous, magistrats, n’échappons pas à la réalité de tout Étatnous avons subi la liquéfaction de nos salaires, ce que le Gouvernement célèbre en permanence, nos augmentations ont été inférieures à l’inflation ces derniers mois.

– Maintenez-vous le dialogue avec les secteurs du gouvernement provincial pour connaître la position qu’ils adopteront au Sénat ?

– Nous avons envoyé une lettre en tant que CGT demandant aux sénateurs de Cordoue de ne pas soutenir la Loi Bases car elle présente de nombreux aspects régressifs et négatifs en termes de droits de tous les travailleurs.

Nous comprenons qu’il y a un contexte pour lequel les provinces soutiennent cette loi, qui est la suppression des fonds provinciaux de tous types: fonds de coparticipation, du Fonds de retraite, suppression des subventions au transport, mais nous pensons qu’il serait plus grave de soutenir la Loi des Bases que de perdre ces fonds. Ce que nous demandons dans cette lettre que nous avons envoyée aux sénateurs, c’est que Ne vous soumettez pas à cette extorsion proposée par le gouvernement national pour approuver la loi pour disposer de ces ressources.Ces fonds doivent être requis judiciairement, Le gouvernement dit qu’il n’est pas nécessaire de faire une nouvelle demande, je ne sais pas si c’est le cas, mais nous comprenons qu’il doit demander les fonds par voie judiciaire et en attendant nous continuerons en tant que syndicat avec les assemblées d’information à expliquer les dangers spécifiques et génériques que l’approbation de cette loi entraînera.

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