Le régime castriste continue de se moquer sans vergogne du peuple et, cette fois, la plainte s’est répandue selon laquelle à l’hôpital psychiatrique Gustavo Machín, à Santiago de Cuba, on donne du poulet pourri comme « nourriture ».
C’est ce qu’a fait savoir le communicateur Yosmany Mayeta Labrada sur son compte Facebook, étendant la plainte d’un membre de la famille d’un patient qui se trouve dans cette institution.
« Les personnes hospitalisées à l’hôpital psychiatrique Gustavo Machín, plus connu sous le nom de Jagüa, à Santiago de Cuba, dénoncent la mauvaise alimentation à laquelle elles sont soumises depuis des semaines »dit le rapport.
La publication était appuyée par des images qui montrent le mauvais état dans lequel se trouve cet aliment ou que, logiquement, il met en danger l’intégrité physique de quiconque ose le manger.
“Depuis cette semaine, ils donnent du vieux poulet, c’est-à-dire des poulets raides, et depuis jeudi, ils lui donnent du poulet pourri, qui pue et a un goût pourri, il n’y a personne pour le manger”, a assuré le plaignant.
En fait, le mauvais état de ce poulet remplit d’une mauvaise odeur la pièce du premier étage de l’hôpital, où « on ne pouvait pas respirer ».
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Comme si cela ne suffisait pas, c’est le même directeur qui aurait dit aux ouvriers qu’« il fallait le donner comme ça » car « on ne peut pas le jeter ».
En plus de la nourriture (ce qui en dit long), les patients de l’hôpital psychiatrique sont également confrontés à des problèmes d’eau, qui reste vitale.
Malheureusement, pratiquement tous les centres médicaux du pays vivent cette situation, et pendant ce temps, la dictature, dans sa volonté de se moquer des Cubains ordinaires et de continuer à remplir ses poches de la souffrance du peuple, se vante aux quatre vents de son « pouvoir.»
Éditorial des Cubains du monde entier
