Breaking news

La Bahaméenne Shaunae Miller-Uibo veut briller à domicile (+Photos)

-

La double championne olympique du 400 mètres (Rio 2016 et Tokyo 2020) n’a pas atteint la finale dans la capitale hongroise, mais elle a ressenti une satisfaction de démontrer qu’elle peut revenir aux compétitions après être devenue mère et qu’avoir la petite Maicel à ses côtés devient une source d’inspiration. permanent.

Et il n’y a rien de mieux que de courir les relais 4×400 féminin et mixte de votre pays lors de l’imminente épreuve planétaire par équipes, pour réchauffer vos moteurs en route vers Paris 2024, où une bataille difficile vous attend dans votre aspiration à remporter un troisième titre olympique.

Là, elle aura des rivales en constante ascension comme la Dominicaine Marileidy Paulino, l’Américaine Sydney McLaughlin-Levrone et les Néerlandaises Lieke Klaver et Femke Bol, même si cette dernière a assuré après la Coupe du monde en salle à Glasgow que dans l’épreuve sous les cinq anneaux, elle fera courir le 400 avec des clôtures.

Née sous le signe du Bélier (15 avril 1994) dans la principale ville des Bahamas, la élancée coureuse d’1,85 m se distingue par sa foulée élégante mais féroce, et un esprit de victoire affiné depuis ses débuts au plus haut niveau à l’âge de 16 ans, lorsqu’il a remporté l’or à la Coupe du monde U-20 à Moncton, dans la province canadienne du Nouveau-Brunswick.

Ce prix était le début de ses rêves, réalisés avec les titres olympiques et avec quatre métaux aux Championnats du monde en plein air (argent à Pékin 2015, bronze à Londres 2017 – celui-ci au 200 m -, argent à Doha 2019 et or à Eugene 2022, en plus d’une autre médaille d’or dans l’épreuve mondiale en salle (Belgrade 2022).

Le chemin vers ces succès n’a pas été sans revers et il a déclaré à World Athletics il y a quelques semaines : “Ceux qui nous regardent ne comprennent jamais tout ce que vivent les athlètes. Les blessures font partie de ces choses. Je ne parle pas seulement de la douleur physique, mais aussi de la force mentale dont vous avez besoin pour récupérer.

Le sprinter bahaméen se tourne à nouveau vers cette force face au défi de se hisser dans l’histoire de l’athlétisme universel.

Quelle couleur verrons-nous dans vos cheveux lors des prochains rendez-vous ? Magenta, rose, bleu marine, jaune ? On la verra à Nassau et à Paris, et elle en profitera sûrement avec son fils et son mari, le décathlète estonien Maicel Uibo, vice-champion du monde à Doha 2019.

mémoire/jcm

-

NEXT Le ministère cubain des Affaires étrangères dénonce les effets du blocus américain contre Cubana de Aviación – Escambray