Le bien-être mental est crucial pour vieillir en bonne santé, révèle une nouvelle étude

Le bien-être mental est crucial pour vieillir en bonne santé, révèle une nouvelle étude
Le bien-être mental est crucial pour vieillir en bonne santé, révèle une nouvelle étude
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Dans une étude récente publiée dans la revue Comportement humainLes chercheurs ont évalué les effets causals du bien-être mental sur le phénotype du vieillissement génétiquement indépendant (vieillissement GIP).

L’espérance de vie humaine a augmenté avec le temps ; Cependant, une population vieillissante présente des défis pour les individus et la société. Le bien-être mental est en corrélation avec les habitudes de vie et la morbidité. Des études ont établi un lien entre le bien-être mental, la santé physique et l’augmentation de la survie. De plus, le statut socio-économique (SES) est étroitement lié au vieillissement et au bien-être mental. Cependant, une relation causale entre vieillissement en bonne santé et bien-être mental n’a pas encore été établie.

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À propos de l’étude

Dans la présente étude, les chercheurs ont évalué les effets du bien-être mental sur les phénotypes du vieillissement. Cette étude de randomisation mendélienne (MR) a évalué les associations causales entre les phénotypes du vieillissement et les traits de bien-être mental et a sélectionné des médiateurs candidats dans la relation entre le vieillissement GIP et le spectre du bien-être. De plus, l’équipe a également examiné si les effets causals étaient indépendants du statut socio-économique.

Les données de l’étude d’association pangénomique (GWAS) au niveau récapitulatif ont été dérivées de personnes d’ascendance européenne. Les expositions comprenaient le spectre du bien-être, la satisfaction de vivre, le névrosisme, les symptômes dépressifs et l’affect positif. Les covariables étaient trois indicateurs du SSE : l’éducation, la profession et le revenu. Au total, 106 candidats médiateurs ont été identifiés pour sélection ; Les médiateurs comprenaient 23 facteurs liés au mode de vie, 20 traits de fonction physique, 53 maladies et 10 comportements et performances.

Les médiateurs ont été sélectionnés sur la base d’un ensemble de critères : le médiateur doit avoir une association causale avec le vieillissement du PIB et un effet causal direct indépendant du spectre du bien-être ; le spectre du bien-être devrait avoir une association causale avec le médiateur (et non l’inverse) ; L’association du médiateur au vieillissement du PIB et celle du spectre du bien-être au médiateur devraient aller dans le même sens.

Les résultats comprenaient le PIB du vieillissement et ses composantes (état de santé auto-évalué, résilience, longévité, espérance de vie et espérance de vie des parents). Une régression du score de déséquilibre de liaison a été réalisée pour examiner les corrélations génétiques entre les traits de bien-être mental, les phénotypes de vieillissement et les indicateurs de SSE. L’analyse MR univariée (UVMR) a évalué l’effet causal des médiateurs et des traits de bien-être mental sur les phénotypes du vieillissement.

Des analyses UVMR et MR multivariées (MVMR) ont été effectuées pour étudier les effets causals des indicateurs du SSE sur les traits de bien-être mental. L’analyse MVMR, ajustée aux indicateurs du SSE, a examiné l’impact direct du spectre du bien-être sur les phénotypes du vieillissement. Une analyse IRM en deux étapes a testé les effets médiateurs entre le spectre du bien-être et le vieillissement du PIB.

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Des corrélations génétiques ont été observées entre tous les traits de bien-être mental et le PIB du vieillissement et ses composantes, à l’exception de la longévité. Le spectre du bien-être était associé à un PIB plus élevé pour les personnes âgées. De manière constante, le spectre du bien-être a montré des associations causales positives avec la résilience, l’espérance de vie, l’espérance de vie des parents et l’auto-évaluation de l’état de santé.

L’affect positif et la satisfaction de vivre étaient positivement associés à ces phénotypes de vieillissement, tandis que les symptômes dépressifs et le névrosisme étaient inversement associés. Les indicateurs du SSE et les traits de bien-être étaient également corrélés. Des revenus, une éducation et une profession plus élevés étaient associés de manière causale à un meilleur bien-être mental. Le spectre du bien-être était indépendamment associé au PIB des personnes âgées plus élevées, ajusté en fonction des indicateurs du SSE.

Sur les 106 candidats médiateurs, 33 répondaient aux critères de sélection et ont été retenus. Les facteurs liés au mode de vie, aux fonctions physiques, aux comportements et actions malsains étaient associés à une baisse du PIB en vieillissant. Un âge plus avancé au début du tabagisme et une consommation plus élevée de fromage, une masse maigre appendiculaire (ALM), des performances cognitives, un cholestérol à lipoprotéines de haute densité (HDL-C) et une consommation de fruits frais étaient associés à un GIP plus élevé au cours du vieillissement.

L’insuffisance cardiaque, l’hypertension, les accidents vasculaires cérébraux et les maladies coronariennes ont eu les effets les plus importants sur le vieillissement du PIB. Les médicaments antihypertenseurs, l’âge auquel on commence à fumer et le temps passé devant la télévision contribuent individuellement à au moins 7 % de l’effet du spectre du bien-être sur le vieillissement du PIB. Les anti-inflammatoires non stéroïdiens, le rapport taille/hanche, la consommation de fruits frais, l’ALM, le HDL-C, les triglycérides et l’âge à la ménarche ont été médiés individuellement jusqu’à 4,81 % de l’effet total.

Conclusions

En résumé, l’étude a illustré les effets causals du bien-être mental sur les phénotypes de vieillissement, quel que soit le statut socio-économique. Un meilleur bien-être mental était associé à un meilleur PIB en vieillissant. L’effet causal était en partie expliqué par 33 médiateurs, notamment les modes de vie, les fonctions physiques, les maladies, les comportements et les performances. Dans l’ensemble, les résultats soulignent la nécessité de donner la priorité au bien-être mental pour vieillir en bonne santé.

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