Nous avons joué à Concord pendant 2 heures, la nouvelle exclusivité PlayStation qui rappelle les Gardiens de la Galaxie et qui veut conquérir les fans d’action – Concord

Il a été présenté à un moment crucial pour la marque PlayStation en raison de « l’hystérie » générée autour du achat d’Activision aux mains de Xbox et la possibilité de perdre Call of Duty il y a presque un an. Par conséquent, en annonçant un tireur spatial la nature multijoueur était importante pour la société japonaise. Ils l’ont fait sans donner pratiquement aucun détail ; à tel point que ce n’est que dans le dernier State of Play que nous avons eu un premier aperçu de Concord, confirmant le type de jeu qui nous attend. UN jeu de tir de héros dans le style d’Overwatch ou de Valorant qui rappelle inévitablement Les Gardiens de la Galaxie par le ton et l’esthétique de ses protagonistes, et qui est également sponsorisé par un studio composé de vétérans de l’industrie qui ont travaillé sur des jeux du La saga Call of Duty.

Avec ces ingrédients et la pression d’être l’une des grandes sorties de Sony pour PS5 et PC Le reste de l’année, nous avons eu l’occasion de jouer à Concord pendant deux heures, et ci-dessous nous vous expliquerons en détail ce que vous pouvez attendre de ce jeu de tir développé par Studios Firewalk.

Un nouveau rival pour Valorant et Overwatch

Concord propose un voyage galactique qui semble tout droit sorti des Gardiens de la Galaxie de Marvel. En cela, les joueurs font partie de l’équipage du Northstar, qui incarne parfaitement l’essence de personnages comme Starlord, Gamora, Groot ou Rocket, mais sans en être un. Pouvoir choisir entre 16 personnages jouablesle fait d’être mercenaires sera le déclencheur pour entrer dans des batailles entre équipes à 5 contre 5. Car oui, Nous sommes face à un tireur de héros avec toute la loi.

Cependant, avant d’aborder les combats, les personnages et les différents modes de jeu, j’aimerais faire une petite allusion à la galaxie de la Concorde. Firewalk Studios semble avoir déployé beaucoup d’efforts pour créer tout un monde élaboré autour du gameplay, il y a donc une partie du jeu dédiée à la compréhension de son univers. Vous pouvez explorer (sous une forme réduite et à travers une carte générale dite « guide galactique ») les différentes zones pour obtenir certaines informations contextuelles. Comme l’a commenté Kimberly Kreines, directrice de la propriété intellectuelle du studio, « rien dans Concord n’est là, mais tout, même un graffiti sur un mur sur une carte, a une signification narrative ».

Cet effort pour créer un univers cohérent se traduit également par un début d’histoire suffisamment puissant pour que le joueur s’y intéresse. Dans mon cas, j’ai pu voir le début d’un chapitre lié à Lennox, capitaine du navire, et qui fait beaucoup penser à Yondu des Gardiens de la Galaxie. En ce sens, il y a beaucoup d’humour dans la proposition, un certain ton voyou qui colle très bien, et beaucoup de charisme dans ses personnages. En effet, le studio a confirmé que, semaine après semaine, de nouveaux chapitres cinématiques axés sur les différents combattants seront débloqués pour en explorer davantage, tout comme d’autres jeux du genre comme Sommetsaison après saison.

Ainsi, après ce premier bon contact, il est temps d’entrer dans le vif du sujet. Concord a six modes de jeu allant du mode typique de défense et d’attaque, à la conquête d’un point spécifique, à la réalisation d’extractions, à un mode appelé “Trophy Hunter”, etc. Dès le premier instant, nous disposons des 16 personnages disponibles ; L’équipe a clairement indiqué que micropaiements disponibles dans le jeu sont, en tout cas, pour thèmes cosmétiques.

Chacun de ces personnages est totalement différent et possède un design des plus élaborés et originaux. Bien qu’il y ait six rôles différents personnage (tank, support, attaquant…), concernant la conception de ceux-ci, je pense qu’il y a eu un travail conscient pour créer des combattants qui n’étaient pas des copies de ceux existants. Je n’ai pas pu tous les essayer, mais j’ai pu en essayer quelques-uns avec lesquels je me sentais plus à l’aise, en vérifiant qu’aux commandes, chacun fonctionne de manière totalement différente. Et je ne parle pas seulement de l’arme principale, qui peut être n’importe quoi, du fusil de sniper à l’arbalète ou même un aspirateur (dans le cas d’un robot), mais aussi des capacités principales. Chacun d’eux possède des pouvoirs exclusifs (un plus rapide et un chargé) qui peuvent varier en options et aller de la création d’un mur de feu à l’absorption de vos ennemis ou à la guérison. De plus, ils disposent tous de passifs de base qui peuvent être consultés avant de commencer le jeu, et qui incluent des compétences telles que l’augmentation de la mobilité lorsque la vie est faible, le rechargement plus rapide, etc.

Les protagonistes de Concord et quels modes de jeu vous attendent

Il n’est pas facile de bien contrôler les personnages, et je ne fais pas référence aux commandes elles-mêmes (qui sont confortables sur une manette). Il y a des combattants plus accessibles que d’autres, et des styles de jeu plus adaptés à ceux qui découvrent le genre. Le studio a souligné que “tous les joueurs sont invités à jouer à Concord”, et a donc inclus un mode Entraînement afin de pouvoir y jouer individuellement avant de se lancer dans l’aventure. Par exemple, j’avais une affinité particulière avec le tireur d’élite, puisque le coup de feu C’est satisfaisant. Je ne sais pas si c’était parce qu’il n’y avait personne de particulièrement bon dans mon jeu (sans discréditer personne), mais il y avait de nombreuses options pour explorer l’environnement, sélectionner les chemins que l’on voulait emprunter, constituer l’autre équipe. ou encore créer une certaine synergie avec les autres membres de votre propre groupe.

J’ai également pu contrôler un chasseur qui tirait quelque chose de similaire à un plasma, qui fonctionnait également très bien, mais à courte portée. Il y en a d’autres comme le robot dont je vous ai parlé, Lennox lui-même qui fait penser à un tireur occidental, ou une sorte de Drax (les Gardiens de la Galaxie encore), qui se dévoile presque à découvert et avec de la pure force brute.

Selon le mode, le jeu peut être plus ou moins exigeant. Par exemple, dans certains d’entre eux, une fois que vous mourez, la partie est terminée. Cela peut être un peu dur pour ceux qui ne sont pas très familiers avec le style de jeu, ce qui pose également une certaine barrière à l’entrée dans ces modes. D’autres, cependant, vous permettront de choisir à nouveau un personnage, pouvant changer même quelques secondes après sa mort, et sans limite de mort. C’est à ces moments-là qu’intervient la fonction « crew builder » qui nous permet de configurer notre équipe personnelle dans l’ordre souhaité.

Même si je n’ai pas bien compris cette option, puisque je n’ai pas eu l’occasion de l’essayer (j’imagine que c’est pour le confort du joueur), son objectif est que le joueur ait la personnalisation maximale possible de ses personnages. Et en parlant de personnalisationceci est super présent tout au long du jeu à travers des détails comme la possibilité de changer des pièces du robot (si vous le manipulez), des accessoires d’armes, des poses de victoire et de défaite, etc.

La variété que présente Concord est également renforcée par la diversité des ses 12 cartes. Je n’ai pu en jouer que trois, chacun plus marquant, mais tous sont présentés sous une section graphique qui ne semble pas donner une seule erreur. Sur le plan visuel, j’aime particulièrement celui qui était plein d’une infection monstrueuse, et qui, bien sûr, avait à voir avec le traditions de l’univers. Il existe également d’autres scénarios comme la Mine d’Os, le Palais de Sel ou les Ruines Robotisées.

Les vertus de ses graphismes semblent également présentes lorsqu’il s’agit des combats eux-mêmes. Celles-ci sont non seulement spectaculaires (et souvent brèves), mais elles petits détails qui peuvent passer inaperçus, comme les animations lors du tir, du tirage ou du changement d’arme. À propos, tous les personnages portent généralement leur arme principale, un pistolet secondaire et un couteau. Par exemple, j’ai déjà dit que Lennox ressemblait un peu à un flingueur du Far West, car cela se traduit par la façon dont il manipule les armes, vue à la première personne.

Une fois en combat, ceux-ci fonctionnent comme n’importe quel autre jeu de tir comme Valorant, Overwatch ou Apex, mais avec la particularité d’avoir certains temps d’action. Selon Jon Weisnewski, concepteur principal des personnages de Concord, « Je voulais inclure un certain élément de jeu de combat. Bien sûr, Concord n’est pas un jeu de combat, mais je parle de devoir réagir aux mouvements de l’ennemi, puis de devoir réagir aux mouvements de l’ennemi. riposter. J’ai également été inspiré par des jeux comme. League of Legends“.

En fin de compte, Concord ressemble à un jeu dont les créateurs savent ce qu’ils font. L’expérience a été amusante, tout comme la mise en scène. Il me reste quelques inconnues latentes, comme comment la connexion fonctionnerait dans un environnement différent, combien de temps je devrais attendre pour démarrer un jeu ou si un compte PlayStation Network sera finalement nécessaire pour accéder au jeu, tout comme l’alerte a été soulevé il y a quelques semaines. Il ne nous reste plus qu’à voir la version complète du jeu, qui Nous avons déjà confirmé que ce ne serait pas un jeu gratuitet savoir quel sera son accueil auprès du public après son lancement le 23 août. Suivra-t-il les traces de Helldivers 2 ?

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