Dans la nuit du 7 juin, la Maison Royale est devenue l’épicentre du funk brésilien en recevant la reine incontestée du genre, Anitta. Dès le début de l’après-midi, plusieurs de ses fans sont arrivés au centre événementiel pour avoir l’occasion de voir la chanteuse au premier rang. Les drapeaux brésiliens flottaient fièrement parmi le public et les participants, vêtus de couleurs vertes et jaunes, ont montré leur enthousiasme pour ce qui promettait d’être une soirée inoubliable.
L’attente a grandi à mesure que l’heure du début approchait, les cris du public ont augmenté lorsque le DJ est sorti et a commencé à jouer les meilleures chansons funk brésiliennes et à surprendre avec ses pas de danse.
Le concert a commencé à 21 heures.
Photo:Daniela Larrarte. LE TEMPS
Quand Anitta est finalement sortie, le public a chanté la chanson « Funk Rave » à l’unisson. Le Brésilien avait une énergie rayonnante et des pas de danse éblouissants. Tout au long de la soirée, la chanteuse a ravi le public avec une série de ses plus grands succès, tels que « Joga Pra Lua », « Bellakeo », « Downtown », « Sua Cara », « Vai Malandra », entre autres.
Chaque chanson était accompagnée d’un groupe de danseurs.
Photo:Daniela Larrarte. LE TEMPS
Le concert s’est poursuivi avec une série de surprises. Lors de la représentation de « Cria Da Favela », Anitta a invité plusieurs fans à la rejoindre sur scène et à danser sur son tendance « Booty Dancer ». L’excitation et la joie étaient évidentes sur les visages des supporters, qui n’en revenaient pas de leur chance de danser avec le Brésilien.
Le spectacle s’est terminé à 22 heures.
Photo:Daniela Larrarte. LE TEMPS
Enfin, à 22h30, Anitta a dit au revoir à ses fans et a remercié son public colombien et brésilien d’avoir écouté ses chansons et de l’avoir soutenue dans son projet d’amener le Funk brésilien dans différentes parties du monde, puisqu’elle s’était déjà produite à United États et Mexique.
Assurément, la nuit du 7 juin restera dans la mémoire de tous ceux présents qui ont pu profiter d’un peu de culture et de musique brésilienne.
DANIELA LARRARTE ASAAD
PORTÉE NUMÉRIQUE ÉDITORIAL
LE TEMPS