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La Banque centrale (BCRA) a fermé ses portes en juin le premier mois des temps de gestion de Milei perdant des réserves pour avoir accumulé un solde négatif dans ses interventions sur le marché des changes local.
Ceci est une donnée un contenu symbolique élevé, car C’est une administration qui pourrait se concentrer sur la nécessaire recomposition de ce mandat pour, en même temps, être en mesure de commencer à démanteler les stocks et à supprimer les restrictions qui font fuir les investissements, surtout, à celui d’origine étrangère.
Pour ce faire, elle a dû apporter 38 millions de dollars supplémentaires au marché aujourd’hui, ce qui lui permet de clôturer le mois de juin en sacrifiant ainsi 85 millions de dollars. Et après avoir dû apporter des devises sur le marché en 10 tours (sur les 18 du mois) et avoir fini par vendre près de 200 millions de dollars au cours des trois derniers jours seulement.
Cette nouvelle vente prévisible, qui se répète habituellement à chaque clôture du mois, a eu lieu après une journée au cours de laquelle elle a de nouveau permis une augmentation de seulement 0,50 $ pour le dollar de gros, qui a clôturé la vente à 912 $. De cette façon, Il a progressé de 16,50 $ (ou 1,84 %) au cours du mois, c’est-à-dire toujours en dessous de la ligne directrice explicite d’ajustement de 2 %. À son tour, le volume exploité dans le secteur de la roue a augmenté encore de 7,5% et a atteint 404,1 millions de dollars, en raison notamment de la demande.
Le BCRA a fermé comme ça une semaine marquée par l’approbation de la loi Bases et le paquet fiscal qui, selon le gouvernement lui-même ouvre la porte à une nouvelle étape de gestion, mais dans lequel ils ont commencé à se consolider »symptômes d’une pression accrue autour de deux des principaux risques autour du plan», ont évalué les analystes de Facimex Valores.
“Les deux principaux risques qui pèsent sur le plan économique du gouvernement concernent l’appréciation du taux de change réel ainsi que l’ampleur et la durée de la récession. Par rapport au premier risque, Ce facteur se traduit par une certaine stagnation de l’accumulation des réserves. Dans un mois saisonnièrement favorable, la BCRA a vendu 85 millions de dollars en juin : sans perdre de vue qu’il n’y a plus d’économies de devises grâce au système de paiement des importations et que Il y a eu plus d’importations d’énergie (qui ont un accès immédiat) avec les basses températures, ce n’était pas ce à quoi le marché s’attendait», expliquent-ils.
Cela est visible dans l’augmentation de la demande de couverture de change enregistrée ces dernières semaines et un écart qui avoisine déjà les 50%, entre autres. “Sans doutes Le résultat des achats de juin laisse un goût amer aux opérateurs en raison de l’arrêt brutal de la forte accumulation de réserves avec lequel la gestion a commencé. Même s’il s’agissait d’un processus anticipé, basé sur des règlements plus faibles ainsi que sur des importations et des paiements énergétiques plus élevés, le problème est que Il est arrivé un peu tôt et de manière plus marquée“, a convenu l’analyste financier Gustavo Ber, pour qui tout cela explique les spéculations croissantes “sur ce que sera désormais la stratégie de l’équipe économique”.
