“L’alchimie entre Will Smith et Martin Lawrence est intemporelle.” Nous avons interviewé Adil et Billah à propos de « Bad Boys : Ride or Die »

“L’alchimie entre Will Smith et Martin Lawrence est intemporelle.” Nous avons interviewé Adil et Billah à propos de « Bad Boys : Ride or Die »
“L’alchimie entre Will Smith et Martin Lawrence est intemporelle.” Nous avons interviewé Adil et Billah à propos de « Bad Boys : Ride or Die »
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Bad Boys, Bad Boys, qu’est-ce que tu vas faire ? Qu’est-ce que tu vas faire quand ils viendront te chercher ? L’hymne d’Inner Circle retentira à nouveau le 7 juin 2024, avec le retour de Will Smith et Martin Laurent comme l’inoubliable duo de policiers voyous. “Bad Boys: Ride or Die” présente le quatrième volet d’une saga d’action familiale qui récupère l’humour d’un classique du genre des années 90, avec des thèmes tels que la corruption policière, l’importance de l’honnêteté et la nécessité de remettre en question les lois lorsqu’elles sont pas juste. A MeriStation nous avons interviewé ses directeurs, Adil El Alrbi et Billal Fallah, plus connu sous le nom d’Adil et Billal, qui nous racontent comment ils ont adapté la saga aux nouvelles générations sans en perdre l’essence.

“Nous avons décidé de laisser notre marque, mais en même temps de rendre hommage à Michael Bay.”

Will Smith et Martin Lawrence jouent dans Columbia Pictures BAD BOYS : RIDE OR DIE. Photo par : Frank MasiFranck Masi

Meristation : Le premier volet de « Bad Boys » a été publié en 1995 et le deuxième en 2003, réalisé par Michael Bay. Jusqu’en 2020, nous n’avons pas eu de suite à la saga et en 2024 nous profiterons à nouveau d’un nouvel épisode de Lowrey et Burnett. Comment cela s’est-il passé de maintenir l’héritage des « Bad Boys » au fil des années ?

Adil : En tant que fans, nous avons aussi grandi avec ces films et les adorons, alors Billal et moi avons décidé de mettre notre marque, mais en même temps de rendre hommage à Michael Bay. La combinaison entre hommage et fraîcheur est ce qui le maintient Mauvais garçons : rouler ou mourir pertinent et intéressant.

MeriStation : L’humour est l’un des piliers des « Bad Boys », et en même temps c’est l’un des aspects les plus changeants au niveau culturel. Comment avez-vous maintenu un humour qui fait partie de l’identité des « Bad Boys » et qui continue de toucher le public d’aujourd’hui ?

Billal : Je pense que nous avons l’un des meilleurs duos comiques de tous les temps. L’alchimie entre Will Smith et Martin Lawrence est intemporelle : vous pouvez regarder des scènes de « Bad Boys II » et elles sont toujours drôles aujourd’hui. Dans « Bad Boys : Ride or Die », nous explorons également ce type de comédie, ainsi que l’action, mais avec ses doses de drame. Nous avons fait des tests avec le public et la vérité est que la formule va fonctionner à merveille, avec beaucoup de bonnes blagues et gags.

MeriStation : Avec l’évolution de Bad Boys, dans Bad Boys : Ride or Die, à quoi ressemblera la relation entre Lowrey et Burnett ? Comment les deux polices rebelles se sont-elles développées ?

Adil : Lowrey et Burnett sont tous deux plus âgés et ça se voit. Mike Lowrey traverse une phase de changement dans sa vie et il se rend compte qu’il ne peut pas être aussi « Lowrey » qu’avant et être plus prudent sur certains aspects. Burnett, pour sa part, connaît un éveil spirituel qui entre en conflit avec Lowrey. Ces changements renouvellent la dynamique entre eux. Dans Mauvais garçons : rouler ou mourir, ils se retrouvent et se retrouvent, tout en apprenant à se pardonner leurs défauts. Je pense que cela lui donne plus de profondeur qu’un film d’action-comédie typique sans développement de personnages.

“Maintenant, nous voulons explorer des thèmes qui ont à voir avec la vie réelle et qui créent cette complicité entre le public et les personnages.”

MeriStation : Bad Boys : Ride or Die tente d’ajouter une certaine dose de drame à la formule classique de la comédie d’action.

Adil : Dans les années 90, il y avait beaucoup de films d’action et de films d’action avec des comédies qui étaient géniaux, mais aujourd’hui, nous ne voulons pas faire de copie de ces films. Nous souhaitons désormais explorer des thèmes qui ont trait à la vie réelle et qui créent une complicité entre le public et les personnages. Par conséquent, nous traitons des sujets tels que la santé de l’un des personnages d’une manière qui recherche cette empathie. Bien sûr, c’est un film et il n’est pas très réaliste, mais il apporte ce point d’humanité à Bad Boys : Ride or Die.

mauvais garçons

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MeriStation : Un autre des principaux piliers de Bad Boys : Ride or Die est l’action. Comment s’est déroulé l’écriture et la matérialisation des scènes les plus dangereuses du film ?

Billal : Martin et Will sont comme nos grands frères. Nous nous connaissons très bien et nous travaillons ensemble sur les séquences qui peuvent être réalisées et celles qui fonctionneraient le mieux.

Adil : Nous avons également eu Greg Rementer, [coordinador de especialistas de las películas] de « John Wick », qui nous a aidé à travailler avec des acteurs spécialisés et à créer des moments épiques. Nous cherchons toujours à pousser l’action jusqu’à la limite, mais avec beaucoup de préparation. Vous ne pouvez pas improviser ces scènes ou lancer des choses à la dernière minute. Avec Rementer, nous avons créé quelque chose de très spécial, différent de John Wick déjà Mauvais garçonset c’est très mémorable.

Chez MeriStation, nous partageons également notre critique de « Bad Boys : Ride or Die », qui récupère le charme des films d’action et de comédie des années 90 pour l’adapter à la génération actuelle.

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