Débat de l’Assemblée générale des Nations Unies sur l’élimination des mesures coercitives unilatérales en tant qu’instrument de coercition

Débat de l’Assemblée générale des Nations Unies sur l’élimination des mesures coercitives unilatérales en tant qu’instrument de coercition
Débat de l’Assemblée générale des Nations Unies sur l’élimination des mesures coercitives unilatérales en tant qu’instrument de coercition
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Cuba. Le 13 juin, l’Assemblée générale des Nations Unies a débattu du thème : « Élimination des mesures économiques coercitives unilatérales extraterritoriales utilisées comme instrument de coercition politique et économique ».

Dans son intervention au nom de Cuba, le vice-ministre des Affaires étrangères Elio Rodríguez Perdomo a dénoncé l’impact négatif du blocus criminel et illégal imposé à l’île par le gouvernement des États-Unis. Il a rejeté l’application de mesures coercitives unilatérales et a exigé leur élimination. constituer une violation de la Charte des Nations Unies et du droit international.

De même, il a souligné qu’il ne suffit pas de reconnaître que Cuba coopère pleinement avec les États-Unis dans la lutte contre le terrorisme, comme l’a récemment admis le Département d’État de ce pays, mais que Cuba doit être exclue sans plus tarder de la liste fallacieuse des États. qu’ils parrainent soi-disant le terrorisme, dans lequel ils n’auraient jamais dû être impliqués.

Ce débat a été organisé à l’initiative du Groupe des amis pour la défense de la Charte des Nations Unies, composé de 18 pays, dont Cuba est membre fondateur.

Dans son intervention, le Groupe susmentionné a fait une intervention conjointe exhortant le gouvernement des États-Unis à mettre fin immédiatement et sans condition au blocus contre Cuba et à exclure notre pays de la liste arbitraire et unilatérale des États qui soutiennent le terrorisme.

Le Groupe a souligné que Cuba est un exemple de dignité, de résistance et de victoire face à ces politiques illégales et anachroniques.

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