Lors de son séjour à La Guajira, le président Gustavo Petro a souligné l’existence de barrières établies par une force politique qui rendent difficile la résolution du problème du manque d’eau potable dans la région. En outre, dans une partie de son discours, le président a fait allusion aux personnes impliquées dans le scandale de corruption des camions-citernes du département, les qualifiant de « cachacos ». Il a affirmé que son intention était de s’approprier l’argent plutôt que de l’allouer à la communauté pour résoudre les problèmes d’eau.
Face à cela, l’ancienne candidate à la présidentielle Ingrid Betancourt a rejeté les propos du président de la République, affirmant qu’il voulait diviser les Colombiens entre « costeños et cachacos ».
Dans son message, il a également affirmé que le chef de l’Etat souhaitait diviser le pays entre riches et pauvres, travailleurs et hommes d’affaires. Il a également demandé que les Cachacos ne soient pas imputés à la polémique autour des camions-citernes dans le département de la Côte Caraïbe du territoire national.
« Petro veut nous diviser entre riches et pauvres, travailleurs et hommes d’affaires, étudiants et policiers, et maintenant entre costeños et cachacos !! Ne blâmez pas les cachacos. Il a planifié le vol des wagons-citernes pour soudoyer le Congrès. Triple vol : Vol des impôts des Colombiens. Vol de ressources pour faire face à l’urgence de l’eau à La Guajira. « Voler les majorités du Congrès pour les déformer et faire adopter leurs réformes », a commenté l’homme politique colombien.
Ils comparent Gustavo Petro à Ernesto Samper dans le cas des wagons-citernes
Et à propos du scandale susmentionné lors de son intervention dans le département de La Guajira, il a déclaré que : « Une fois les décrets tombés, nous devons dans tous les cas imposer les décisions prises avec la communauté et ne pas reculer. Maintenant, lorsque nous l’avons essayé, le deuxième problème est apparu. Les cachacos que nous avons envoyés ici, apparemment, je ne suis pas juge, cherchaient à voler l’argent.
Et il a ajouté que ces gens cherchaient à “construire un système capillaire qui amènerait l’argent public vers on ne sait encore vers quelles destinations, et, encore une fois, en supprimant les possibilités de cette région pour chacun de ses habitants d’avoir de l’eau potable”.
Il a également déclaré que la résistance considérable rencontrée pour résoudre la crise de l’eau à La Guajira révèle la présence d’un pouvoir sous-jacent, qui se traduit par des votes et reflète l’existence d’élites dominantes dans l’éventail du pouvoir.
Ingrid Betancourt a également réagi à la publication du président relative au scandale susmentionné. Il a déclaré que son gouvernement n’a pas aidé à élire Iván Name comme président du Sénat et ne lui a pas non plus donné d’argent pour approuver les réformes que son administration a proposées pendant son séjour à la Casa de Nariño.
« Même le gouvernement n’a pas aidé à élire le sénateur Name comme président du Congrès, c’est l’opposition qui l’a fait ; Le sénateur Name n’a pas non plus soutenu nos projets de loi ; Même à l’époque des transferts d’argent dont parle Sneyder, il n’y avait pas de wagons-citernes ; Mais ce qui se passait, c’était les élections», a déclaré le chef de l’Etat.
A esto último, la excongresista respondió al primer mandatario colombiano contradiciéndolo y comentando que el “mandó a comprar el Congreso”, para que pudieran pasar las reformas de su Gobierno, e incluso dijo que el jefe de Estado estaba “aplicando a Marx” en el Pays.
« Nous nous sommes réveillés avec cette perle. Non, Petro, tu as ordonné que le Congrès soit acheté pour qu’il puisse transmettre tes réformes. Que plus tard ils achètent des votes, c’est aussi de leur faute. Le problème est que vous nous appliquez Marx : les impôts des citoyens servent à mettre fin à notre démocratie. La loi est pour tout le monde et les citoyens ne sont plus trompés », a déclaré l’ancienne députée sur son compte X Avec Infobae.
