Ils ont remplacé les troupes à Cauca pour poursuivre l’offensive militaire

Ils ont remplacé les troupes à Cauca pour poursuivre l’offensive militaire
Ils ont remplacé les troupes à Cauca pour poursuivre l’offensive militaire
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Le commandant des forces militaires, le général Helder Giraldo, a confirmé que les combats contre le front « Carlos Patiño » de l’état-major central des dissidents se poursuivraient, après avoir annoncé que ladite structure armée illégale qui commet des crimes dans le sud de Cauca, est l’objectif principal des actions militaires.

« Les troupes sont effectivement remplacées par d’autres unités, nous allons poursuivre, comme je vous l’ai dit, cette opération offensive contre ces structures terroristes. De même, nous sommes dans le processus d’identification avec le soutien de notre Police Nationale et plus tard l’identité de ces membres de cette structure qui ont été capturés sera annoncée”, a déclaré Giraldo.

Interceptions

L’officier supérieur a signalé que le chef du front, alias « Dumar », viole le droit international humanitaire, après que des interceptions ont été connues au cours desquelles le commandant illégal a ordonné la décapitation des soldats.

“Il n’est pas question de faire des prisonniers, tous ces HP ont du mal”, dit l’audio intercepté du leader de “Carlos Patiño”.

L’armée a annoncé que depuis le 1er mai, elle a lancé l’opération appelée « Mars 2 », dont l’objectif est de récupérer le contrôle territorial de la zone du canyon Micay, au sud de Cauca, un couloir de trafic de drogue dans lequel le front commet des délits. ” des dissidents.

Récupération

Cette opération a consisté en des combats avec cette structure, qui ont permis de neutraliser trois dissidents, de récupérer un mineur recruté et de capturer cinq dissidents.

Par ailleurs, les combats ont fait quatre militaires de métier assassinés, selon l’institution, au moment où des unités terrestres s’apprêtaient à préparer le terrain pour l’atterrissage d’un avion en vue d’évacuer.

Là, ils ont été attaqués par deux fronts dissidents : les « Carlos Patiño » et les « Franco Benavidez », qui ont également commis des crimes à Nariño.

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