Les dissidents des FARC posent des conditions pour libérer les procureurs kidnappés à Cauca

Les dissidents des FARC posent des conditions pour libérer les procureurs kidnappés à Cauca
Les dissidents des FARC posent des conditions pour libérer les procureurs kidnappés à Cauca
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Pour: Le Colombien

El Colombiano est un groupe d’édition multiplateforme avec plus de 110 ans d’existence. Il est né à Medellín, Antioquia. Fondée le 6 février 1912 par Francisco de Paula Pérez, elle s’est spécialisée dans la recherche et la génération de contenus journalistiques pour différentes plateformes sur lesquelles elle offre au public des informations multi-…

Cet article a été organisé par Gustavo Arbelaez

8 mai 2024 – 15h23

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Deux procureurs et un civil ont été enlevés depuis le 19 avril dans le département de Cauca. Les victimes sont au pouvoir du Dissidents des FARC de l’état-major central des FARC.

Gerzon Rivera, Bethy Mage et la civile Maria Yeni Ruiz revenaient de Popayán lorsque Ils ont été kidnappés par les subversifs à un poste de contrôle illégal dans la zone rurale de Santander de Quilichao.

Or, dans la matinée de ce mercredi 8 mai, les dissidents des FARC ont publié un communiqué dans lequel ils affirment être disposés à négocier les conditions de la libération de ces trois personnes.

(Voir également: « Regardez au-delà des armes » : lettre déchirante des familles des trois kidnappés par des dissidents à Cauca)

dans cette demander une suspension des hostilités par l’armée, Ils affirment qu’à partir du moment où ils ont arrêté les trois personnes, leurs vies ont été en danger. “Grâce à la manœuvre et à l’expertise des unités qui les gardent, ils ont été retirés vivants des lieux d’affrontements”, peut-on lire dans le communiqué.

“Nous avons demandé la suspension des actions offensives pour une durée de 48 heures dans trois municipalités de Cauca”, ajoute le communiqué, qui souligne également que « La vie et l’intégrité des personnes détenues dépendent exclusivement du gouvernement national.» et, sur un ton de cynisme, ils affirment : « Il n’y a pas de marchandage avec les actes humanitaires. »

Le 30 avril, Les familles des victimes ont envoyé une lettre sincère au gouvernement et aux guérilleros pour demander leur libération. « Nous vous demandons de regarder au-delà des armes et de voir l’humanité des membres de notre famille », peut-on lire dans la lettre.

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Dans la déclaration publiée par les dissidents, ils affirment que Ils ont essayé de communiquer avec le gouvernement du président Gustavo Petro demander pour eux des conditions minimales de garantie et procéder à la libération, mais que ceux-ci n’ont pas été entendus.

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Les dissidents ont également déclaré qu’ils avaient tenté de communiquer avec différentes organisations garantes telles que la Croix-Rouge internationale, le Bureau du Médiateur et les autorités indigènes, mais que le gouvernement continuait de mener des attaques militaires qui mettaient en péril la vie des personnes kidnappées et celles des personnes kidnappées. kidnappés en danger.

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