“La Force Publique est de la chair à canon dans le Cauca”, a affirmé le gouverneur en avertissant qu’ils étaient en train de “perdre la guerre”.

“La Force Publique est de la chair à canon dans le Cauca”, a affirmé le gouverneur en avertissant qu’ils étaient en train de “perdre la guerre”.
“La Force Publique est de la chair à canon dans le Cauca”, a affirmé le gouverneur en avertissant qu’ils étaient en train de “perdre la guerre”.
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11h21

Aujourd’hui, le département du Cauca souffre de l’aggravation de la guerre et des attaques excessives des organisations criminelles. Cette dernière semaine en particulier, les actions violentes et le harcèlement de la Force Publique et de la population civile se sont intensifiés, provoquant la mort de la police et la population civile.

La tentative de prise de pouvoir par la guérilla municipalité de Morales en plein jour, Cela a ravivé les tragédies du passé et dissipé les vieilles craintes concernant les pratiques criminelles d’asservissement. La situation est grave et les autorités en sont conscientes et, pressées de reprendre le contrôle, ont convoqué un conseil de sécurité extraordinaire dans la ville de Popayán.

C’est sur cette scène que le gouverneur du Cauca, Octavio Guzmán, Il a exposé la dure réalité et a reconnu sans aucune hésitation qu’ils étaient en train de perdre la guerre, mais il a également averti que s’il n’y avait pas d’actions énergiques de la part du gouvernement, la force publique, sur son territoire, continuerait à être exposée comme de la chair à canon.

“Soit nous rassemblons la Force Publique pour qu’elle ne soit pas de la chair à canon, soit nous élargissons la force, parce que nous les exposons, ils vont me critiquer, mais nous devons nous unir pour exiger de plus grandes capacités du Gouvernement National”, a déclaré le gouverneur. .

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Il a révélé que sur son territoire 11 structures armées commettent des crimes “Ici, nous avons toutes les organisations illégales en guerre, violant les droits de l’homme et le droit international humanitaire. Si nous ne faisons rien, nous continuerons à pleurer nos enfants, la population civile et la Force publique”, a-t-il souligné.

Aujourd’hui pour aujourd’hui, Le département du Cauca est en tête de liste avec le plus grand nombre de recrutements forcés de mineurs. “Cela doit nous conduire à l’action, même si nous traversons cette douleur, nous devons encore agir”, a ajouté le président.

Il a enfin exhorté les autorités nationales chargées de l’application des lois à ordonner l’installation d’un conseil de sécurité permanent sur le territoire, et non occasionnel.

“Nous perdons la guerre parce que nous sommes inégaux, ils sont plus nombreux, nous ne sommes pas sur un pied d’égalité”, a conclu le gouverneur.

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