Milei demande à Cornejo de lui prêter ses sénateurs mais il barde et promet de mettre son veto à tout

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Javier Milei a promis de “veto sur tout” ce qui met en danger le déficit zéro.

Le soutien viendrait des libertaires, du PRO et de certains radicaux. Martín Lousteau reste indiscipliné à l’UCR et a sa propre opinion mais il y a une question qui pèse dans sa décision finale : il est le parrain politique du vice-recteur de l’Université de Buenos Aires (et vice versa) et la négociation qui aurait été menée en faveur de l’UBA et augmenter le budget de cette maison d’enseignement supérieur de quelques millions au détriment d’autres universités publiques plus petites, cela serait devenu un projet de loi que Javier Milei lui-même adopteraitFrancs traversants.

Les sénateurs restants appartiennent à des partis provinciaux qui forment ensemble un bloc qui sera décisif Mercredi 12 prochain, jour choisi par la vice-présidente Victoria Villarruel pour un débat qui promet des étincelles, des cris et des bâillements.

Le vote en particulier sera épicé car Les sénateurs de Patagonie, Chubut et Terre de Feu en tête, restent fermes dans leur refus de permettre à Correo Argentino, Aerolíneas Argentinas et aux médias publics d’entrer dans le paquet d’entreprises à privatiser. S’ils s’ajoutaient au chiffre dur du péronisme, Ce chapitre serait terminé et constituerait un point final car les modifications qui parviendront aux députés pour approbation finale ne l’incluraient pas.

Il est évident que Milei a déjà envoyé des messages au gouverneur Alfredo Cornejo pour lui prêter les deux sénateurs radicaux de Mendoza: son prédécesseur et aussi de San Carlos, Rodolfo Suárez et Mariana Juri d’Alvear.

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Mariana Juri, Alfredo Cornejo et Rodolfo Suarez.

Tout indique que cela sera facilité mais la négociation bat son plein.. Cornejo a déjà atteint l’avenant qu’il recherchait pour obtenir les 1,023 millions de dollars qu’il distribuera généreusement dans toute la province au nom des sudistes qui lui ont fait ce petit cadeau. Là Milei 1 – Cornejo 0 ou une autre facture passe.

En parlant de cadeaux, La semaine qui a passé, le super ministre Francos est sorti pour distribuer des souvenirs dans les provinces cela peut leur fournir les voix dont ils ont besoin pour les batailles à venir. Ils entrèrent sur la liste des honorés MendozaNeuquén, Chubut, Entre Ríos, Jujuy et Chaco.

Si dire que le L’État national ne réaliserait pas de travaux d’infrastructure et supprimerait les travaux publics il a été une stratégie pour desserrer le chéquier quelques mois plus tard, ça a marché. Tous Les gouverneurs tombèrent livrés aux pieds de l’Obélisque chercher des ressources pour les travaux routiers, l’habitat et l’extension des réseaux d’eau potable, pure survie.

La même semaine, président a donné une note à une chaîne étrangère dans laquelle Il a encore dit « je déteste l’État » et qu’il se sent comme une « taupe infiltrée » dans la structure étatique pour la détruire. Tandis que Francos, Cornejo et d’autres gouverneurs ont signé des engagements en espèces et en espèces.

Entre Milei et Cornejo il y a une distance de sécurité et, en tout, une harmonie minimale et essentielle mais tous deux savent que tôt ou tard, des batailles centrales pour le pouvoir auront lieu. Ergo, ils se méfient tous les deux.

Si Omar De Marchi survit, reste au sein des milleistas et s’unit à ceux qui ont affronté Cornejo au sein du radicalisme et font aujourd’hui partie du cabinet national, vague Luis Petri, le front de tempête pourrait apporter de la grêle et autre chose.

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Omar Der Marchi et le président Javier Milei.

Omar Der Marchi et le président Javier Milei.

Si De Marchi est projeté par une force physique irrésistible, comme beaucoup le prétendent, la tempête n’apportera que quelques gouttelettes de rosée et l’eau n’atteindra pas la rivière. Par chance Tout est calme parmi ceux de Milei à Mendoza : le chef déplacé du PAMI, méchant, a déclaré que La Libertad Avanza « avait falsifié des signatures pour les avenants ». Climat de paix.

Milei ne se prive pas d’interpeller publiquement les législateurs, dans leurs mèmes sur les réseaux sociaux les caractérise comme des rats et il leur dit sans équivoque que quoi qu’ils fassent ressortir et qu’il n’aime pas, il y mettra son veto. Par exemple, la mobilité des retraités.

Le veto est une prérogative du Président prévu par la Constitution mais c’est clairement le met en tension avec le Congrès et le filon faible dont il dispose dans les deux chambres. Pour le moment, La stratégie de Milei consistant à affronter grossièrement un autre pouvoir de l’État –le Législatif parce qu’il ne touche jamais au Judiciaire— ça rapporte: On a appris cette semaine que Mendoza battait tous les records de soutien au libertaire, 62% des habitants de Mendoza suivent le style présidentiel.

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