Depuis Cordoue, ils demandent que la surtaxe qui discrimine les producteurs de soja ne soit pas prolongée. • Agro Verdad

Depuis Cordoue, ils demandent que la surtaxe qui discrimine les producteurs de soja ne soit pas prolongée. • Agro Verdad
Depuis Cordoue, ils demandent que la surtaxe qui discrimine les producteurs de soja ne soit pas prolongée. • Agro Verdad
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Depuis Cordoue, ils ont exhorté le gouvernement national à ne pas accorder de surtaxe de crédit qui constitue une discrimination directe à l’égard des producteurs de soja.

C’est un disposition établie par la Banque centrale de la République argentine (BCRA) sous le gouvernement d’Alberto Fernández et que l’administration de Milei lui a assuré une continuité.

La demande d’abrogation a été présentée par le gouvernement provincial, par l’intermédiaire du Ministère de la Bioagro-industrie, en collaboration avec la Commission de Liaison des Entités Agricoles de Cordoue. Cette réclamation s’ajoute à celle formulée par la province de Santa Fe dans le même sens.

Demande conjointe

Depuis Cordoue, il a été demandé aux autorités du BCRA de ne pas prolonger la communication « A » 7931 concernant la réglementation sur les « Taux d’intérêt dans les opérations de crédit », qui expire le 30 de ce mois.

Plus précisément, la mesure de l’entité bancaire a établi un taux minimum pour financer les producteurs qui maintiennent un stock de soja supérieur à 5 % de leur production, l’équivalent de 120 % du dernier taux de la politique monétaire.

Cette réglementation oblige les producteurs à payer un taux d’intérêt plus élevé, qui doivent payer un intérêt supérieur au taux établi, « ce qui est une autre punition pour la production », a affirmé le ministère de la Bioagro-industrie de Cordoue.

En ce sens, Sergio Busso, a exprimé qu’il s’agit d’une mesure qui menace la croissance du secteur et a estimé que la décision de l’abroger serait « un bon signe pour les campagnes et soulagerait les producteurs ».

Le responsable du portefeuille agricole a estimé que “cette mesure entraîne un coût financier plus élevé et menace la croissance du secteur”. Pour Busso, “le gouvernement a la possibilité de soulager les producteurs, d’éliminer une partie de la pression que subissent les campagnes depuis des années”.

Pour sa part, Les dirigeants de la Commission de Liaison de Cordoue ont soutenu conjointement les affirmations de Busso.

« Nous avons besoin de tarifs compétitifs pour augmenter la production. C’est un piège financier qui punit la production et la décision de ne pas l’étendre serait positive», José Luis Careggio, Vanesa Padulles, Patricio Kilmurray et Albina Capellán ont convenu d’affirmer,

À son tour, Busso a insisté sur la nécessité pour les producteurs d’accéder librement au crédit disponible, dans les mêmes conditions que les autres activités économiques.

« La campagne a besoin d’un geste. Si des progrès sont réalisés avec cette mesure, les producteurs seront incités. La prochaine étape doit être la suppression de toutes les retenues», a conclu le ministre.

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