La Libertad Avanza propose la mise en œuvre du scrutin unique à Entre Ríos – Diario El Argentino de Gualeguaychú. Édition en ligne

La Libertad Avanza propose la mise en œuvre du scrutin unique à Entre Ríos – Diario El Argentino de Gualeguaychú. Édition en ligne
La Libertad Avanza propose la mise en œuvre du scrutin unique à Entre Ríos – Diario El Argentino de Gualeguaychú. Édition en ligne
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Ce vendredi 14 juin, un projet de loi pour la mise en œuvre à Entre Ríos du scrutin unique (BUS) est entré à la Chambre des députés. Il a été présenté par les législateurs du bloc La Libertad Avanza, Roque Fleitas et Débora Todoni. Les fondements du projet cherchaient à « mettre en valeur l’importance et les avantages de la mise en œuvre d’un BUS lors des élections de la province d’Entre Ríos, par rapport au système actuel régi par la loi provinciale n° 2988 ». APFDigital a appris que le projet est entré dans la Chambre en dehors de la Table qui formait le Pouvoir Exécutif, avec tous les acteurs, pour la Réforme Politique.

• Pourcentages et collecteurs

Dans cette argumentation, il a été avancé que « la transition vers ce nouveau modèle électoral modernisera non seulement le processus électoral, mais renforcera également la transparence, l’équité et l’efficacité de notre système démocratique ». Le projet propose de modifier l’article 18 de l’actuelle loi électorale, en réduisant les votes affirmatifs valablement exprimés lors des élections primaires ouvertes, simultanées et obligatoires (PASO) de 1,5 pour cent à un pour cent, pour l’officialisation des listes et des bulletins de vote contenant les candidats proclamés. ; et relever de 10 jours à « au moins 30 jours avant les élections générales, les listes des candidats proclamées pour être incorporées au scrutin à scrutin unique ». La modification de cet article propose également que “la participation d’un candidat ne sera pas admise sur les listes de plus d’un groupe politique, ni pour plus d’un poste, et les listes collectrices ou miroirs ne seront pas admises”.

• Fondamentaux

Parmi les bénéfices supposés, il a été évoqué, sans préciser de données concordantes, la « réduction de la fraude électorale » à travers le « vote en chaîne » et « le vol de bulletins de vote, ou bulletins falsifiés », des situations qui minimiseraient « de manière significative », contrairement au système actuel. « Lorsque les bulletins de vote sont fournis par chaque parti et peuvent faire l’objet d’un vol, d’une destruction ou d’une falsification, le bulletin de vote unique est fourni par l’État et remis à l’électeur au moment du vote. »

Il a également évoqué « des économies économiques » puisqu’il a été soutenu que le BUS « présente une réduction notable des coûts associés à l’impression et à la distribution des bulletins de vote. Dans le système actuel, chaque parti doit imprimer un grand nombre de bulletins de vote pour s’assurer qu’ils soient disponibles dans tous les bureaux de vote. Ce processus est coûteux et entraîne souvent un gaspillage de papier considérable.

La « simplification du processus électoral » qu’entraînerait le BUS, selon les co-auteurs du projet, « simplifie le processus tant pour les électeurs que pour les autorités électorales ». Pour les électeurs, le système est plus clair et plus simple, permettant une identification rapide et directe des candidats et des partis. Pour les autorités, le décompte et la vérification des votes sont facilités, réduisant ainsi le temps et la complexité du dépouillement. Conformément à la prétendue « simplification », il a été mentionné que « cela réduit également le risque d’erreurs humaines pendant le processus de vote et de dépouillement ».

Les législateurs ont cité la « Promotion de l’équité et de l’égalité des chances » comme une avancée supposée du BUS, car ils ont compris que « dans le système actuel, les partis disposant de plus grandes ressources économiques ont la capacité d’imprimer et de distribuer davantage de bulletins de vote, ce qui peut influencer leur disponibilité. et la visibilité dans les centres de vote. Le scrutin à scrutin unique garantit que tous les partis et candidats apparaissent sur un pied d’égalité dans le même document, garantissant ainsi une compétition électorale plus juste et équitable.

La « Réduction de l’impact environnemental » ne pouvait pas manquer. Dans ce point, les législateurs de la LLA ont soutenu que « le passage au BUS contribue également à la réduction de l’impact environnemental. L’impression massive des bulletins de vote des partis implique une consommation élevée de papier et d’autres ressources, en plus de l’impact négatif associé au gaspillage de bulletins de vote inutilisés. Le bulletin de vote unique, étant un document unique pour chaque électeur, réduit considérablement la consommation de papier et favorise des pratiques plus durables et respectueuses de l’environnement.

Un autre élément mis en avant dans le projet était la prétendue « plus grande transparence et plus grande confiance dans le système électoral ». En ce sens, il a été affirmé que « la mise en œuvre du BUS augmente la transparence du processus électoral, générant une plus grande confiance dans les citoyens. La gestion centralisée des bulletins de vote par l’État et la réduction des possibilités de manipulation électorale renforcent la perception d’intégrité et de légitimité du processus électoral. Cette confiance est fondamentale pour la stabilité et le renforcement de nos institutions démocratiques. (APFDigital)

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