En six mois de 2024, il y a déjà 6 cas

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Comme « une cloche pour que cela ne devienne pas une boule de neige », la conseillère du district de Barranquilla, Heidy Barrera, décrit l’augmentation des cas de féminicides dans le département. s’assure que La question est devenue incontrôlable, c’est pourquoi il est urgent que l’étude d’un timbre pour le renforcement des commissariats familiaux soit réalisée comme une initiative non seulement dans un projet d’accord du Conseil, mais aussi qu’elle soit promue comme un ordonnance à l’Assemblée.

Pour Barrera, il n’est pas possible que ces chiffres soient visibles et que rien ne se passe ou que cela soit quotidien. « Il serait très important que, même si les stratégies approuvées dans le plan de développement du district soient mises en œuvre, peut être appliqué en collaboration avec les secrétariats de santé de Barranquilla et d’Atlántico, tout ce qui concerne la santé mentale comme stratégie préventive pour réduire les chiffres élevés», a-t-il indiqué.

Il a détaillé que Alors qu’en 2023 il y a eu trois féminicides parmi les 44 meurtres contre les femmes de cette année en cours, 34 ont déjà été enregistrés, dont Le chiffre a doublé, atteignant six féminicides, dont un correspondant à Barranquilla.

Tâches du plan de développement

La conseillère Heidy Barrera a expliqué queUn nouveau refuge a été approuvé pour s’ajouter à celui qui fonctionnaitsouligne également que des ressources sont garanties pour revoir l’étude de la création d’un tiers et les soutenir.

« L’objectif était de pouvoir disposer d’un foyer d’accueil par emplacement mais nous en aurons deux et éventuellement un troisième. L’autre chose concerne les pouvoirs du maire pour créer le Secrétariat des Femmes, nous demandons également que le Secrétariat ait des « dents » et qu’il y ait des ressources importantes pour garantir son fonctionnement », a-t-il souligné.

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Commission juridique des femmes à l’Assemblée

Pour sa part La députée de l’Assemblée départementale, Alejandra Moreno, a informé que ce lundi, avec la présence de mouvements et de groupes du réseau des femmes, la Commission juridique pour la femme et l’égalité des sexes a été installée. dans le cadre de la loi 1981, pour exercer un contrôle politique, réaliser la coordination et améliorer les parcours de soins en matière de violence de genre.

Nous recherchons un réseau de commissariats dans les communes, qui devient aujourd’hui un des maillons faibles que nous avons dans le département.. On voit qu’aujourd’hui il y a un manque d’infrastructures, un manque de ressources humaines et d’outils pour offrir un service de qualité», a-t-il indiqué.

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