Une étude révèle que 72% de la population ne croit pas que l’ajustement soit “payé par la politique”.

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Le cabinet de conseil Zuban Córdoba y Asociados a publié ce week-end une nouvelle enquête mensuelle, qui enquête sur l’opinion publique sur l’image des principaux dirigeants politiques et évalue la considération sociale concernant le progrès du gouvernement de Javier Milei, qui a fêté ses six mois le 10 juin.

Le rapport expose certaines des données recueillies entre le 7 et le 8 juin, parmi 1 400 cas recensés dans tout le pays. Un discrédit social croissant se révèle dans la décision officielle selon laquelle “l’ajustement est payé par la politique”, qui dans ce cas a reçu 72,7% de désapprobation, contre seulement 25,2% de personnes qui étaient d’accord.

Le rapport dresse un graphique de données comparatives qui montre que ce discrédit envers la maxime libertaire s’est accru alternativement depuis décembre, stimulé par les mouvements politiques menés par le Gouvernement.

https://es.scribd.com/document/743003180/Domingo-de-Datos-Junio-2024-Zuban-Cordoba-y-Asociados

Concernant l’économie, presque par coïncidence avec le point mentionné ci-dessus, 72,5% des personnes interrogées ne sont pas d’accord avec l’expression “ma situation économique s’est améliorée depuis que Milei est présidente”, contre seulement 25,2% qui se sentent représentés par elle.

Ces données sont complétées par le point suivant, dans lequel 63,9% des personnes interrogées reconnaissent qu’elles doivent « travailler plus dur pour avoir le même niveau que l’année dernière ».

Enfin, concernant les attentes futures, seulement 41,4% des personnes consultées sont confiantes que “Nous sommes mauvais mais tout ira bien” et 43,2% estiment que “Nous sommes mauvais et nous allons être pires”.

L’enquête de Zuban Córdoba y Asociados a également choisi dix politiques du gouvernement national, à soumettre à l’évaluation positive ou négative des personnes interrogées : la relation avec la campagne, la politique économique, la lutte contre la corruption, la sécurité, la politique étrangère, la la gestion de l’État en général, la relation avec les journalistes, les retraites, la relation avec les gouverneurs et la relation avec le Congrès.

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