Privatisations, profits et biens personnels, au centre d’un contentieux judiciaire pour les réimposer aux députés

Privatisations, profits et biens personnels, au centre d’un contentieux judiciaire pour les réimposer aux députés
Privatisations, profits et biens personnels, au centre d’un contentieux judiciaire pour les réimposer aux députés
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Le vote particulier sur l’Impôt sur le Revenu au Sénat

La séance plénière de Le Sénat a approuvé des modifications au paquet fiscal et l’a renvoyé pour un deuxième examen aux sous-ministres. Cela a été laissé en arrière-plan puisque, notamment lors du vote, le bureaucratie avait une stratégie plus que faible et a reçu deux défaites difficiles: IL Ils ont rejeté la réactivation de l’impôt sur le revenu et le titre du patrimoine personnelet avant le vote de l’avis, le parti au pouvoir a annoncé que éliminé la possibilité de privatiser Aerolíneas Argentinas, Correo Argentino et RTA.

La la manière dont il a été voté -l’élimination- et le retrait des entreprises a déclenché un débat en ce qui concerne la possibilités d’insister sur le texte original à la Chambre des députés. Et c’est quelque chose qui, même s’il est minimisé dans les réunions que le parti au pouvoir a déjà avec l’opposition au dialogue, plusieurs autres législateurs et Certains constitutionnalistes remettent en question cette possibilité.

Le constitutionnaliste Andrés Gil Domínguez publié sur le réseau social Concernant le point en discussion, l’avocat souligne qu’il s’agit d’une « loi omnibus qui inclut dans un seul organisme de régulation différentes matières qui ne sont pas liées les unes aux autres » et qu’il s’agit d’une « exception » au principe de spécificité réglementaire. Cela dit, le spécialiste précise que dans le cas de Obtient le rejet par 41 voix négatives contre 31 positives “est une loi dans la loi qui rend plus évidente l’inconstitutionnalité de l’intention des députés d’insister sur cette question”. “Il existe des arguments solides pour affirmer que la Chambre des députés ne peut pas insister sur cette question », a-t-il déclaré.

La Chambre des Députés débattra de la Loi de Bases et du paquet fiscal (EFE)
La Chambre des Députés débattra de la Loi de Bases et du paquet fiscal (EFE)

Cette discussion était présente au Sénat pendant le débat. Ils assurent que le sénateur Martin Loustau en a alerté le président de la Chambre, Victoria Villarruel, et les sénateurs libertaires Bartolomé Abdala et Ezequiel Atauche. “Loustau leur a dit : ‘Je comprends que vous n’aimez peut-être pas l’article tel qu’il est rédigé dans l’opinion minoritaire, mais si vous ne votez pas pour, vous aurez des problèmes au sein des députés’. Ils n’y ont pas prêté attention et il y a maintenant une question qui va susciter beaucoup de discussions juridiques, comme l’a expliqué Gil Domínguez”, a expliqué une source consultée par Infobae.

Mais Domínguez n’était pas le seul à évoquer cette question. Gustavo Arballo Il souligne dans un texte publié que l’art 81 permet d’insister sur les corrections, mais pas sur le rejet : «Cela est incompatible avec le fait de donner carte blanche à la Chambre d’initiative pour ignorer une volonté négative expressément formulée par l’examinateur.»

Il argument qui sont utilisés par les députés qui ont à l’esprit aller de l’avant avec les revenus et les actifs personnels est-ce le approbation générale du projet établit que suppression de chapitres de ces impôts C’est une correction au texte original et c’est pourquoi nous pouvons insister sur la réincorporation des deux normes.

Cette position est généralisée tant par les députés de La Libertad Avanza que par les négociateurs de la Casa Rosada et du PRO. Mais, en outre, une bonne partie du bloc UCR, la Coalition civique et We Make the Federal Coalition s’inscrivent dans cette ligne. Jusqu’à présent, seul le législateur Fernando Carbajal -du groupe qui répond à son collègue Facundo Manes- a prévenu que “Les députés ne peuvent pas insister sur les bénéfices, le patrimoine personnel et le moratoire sur les retraites parce qu’ils ont été rejetés par le Sénat.

Le débat est également mitigé avec des législateurs qui ne répondent pas à leurs gouverneurs et qui sont en compétition entre eux face aux prochaines élections. Ce qui est sûr, c’est que si le débat n’est pas tranché, l’insistance sur le patrimoine personnel, les bénéfices, le moratoire sur les retraites et la privatisation des entreprises, pourrait finir par être poursuivi.

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