Six mois après l’arrivée de Javier Milei, l’inquiétude face au chômage et à la pauvreté augmente

Six mois après l’arrivée de Javier Milei, l’inquiétude face au chômage et à la pauvreté augmente
Six mois après l’arrivée de Javier Milei, l’inquiétude face au chômage et à la pauvreté augmente
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Six mois après le début du mandat présidentiel Javier Milei, les Argentins commencent à s’inquiéter davantage du travail et de la manière de joindre les deux bouts. Même si l’image de le président reste élevé (48%)commence également à grandir rejet du libertaire (50%).

Une enquête réalisée par le cabinet de conseil Mesures d’équipe sur le premier semestre de l’administration de Milei a montré que les principales préoccupations des Argentins sont la pauvreté (23%), chômage (15%) et inflation (14%). Plus en arrière apparaissent les la corruption (12%), le insécurité (10%), le départs à la retraite (5%), le éducation (5%), le justice (3%), le manque de ménages (2%), le santé (2%), le Trafic de drogue (2%) et le environnement (1%).

En outre, ceux qui ont répondu à l’enquête ont prévenu que le l’inflation va augmenter et la situation va empirer dans les mois à venir. Concernant leur perception du Président, 60% considèrent “mauvaises” formes et désapprouve son style.

Concernant l’inflation, 37% estiment que les prix vont continuer à augmenter dans les mois à venirtandis que 33 % déclarent que diminuera et 21% resteront les mêmes.

Les attentes pour les six prochains mois montrent que 41% des personnes interrogées considèrent que la situation sera « pire qu’aujourd’hui »Pendant ce temps, il 33% estiment que ce sera « mieux qu’aujourd’hui »et le 16 % déclarent que ce sera « aussi grave qu’aujourd’hui ».

Six mois de Milei : l’espoir prédomine même s’il y a aussi de fortes incertitudes et peurs

D’autre part, l’enquête a également analysé la situation émotionnelle des Argentins et a révélé que 41% des personnes interrogées déclarent maintenir le “espoir”, 22% déclarent avoir “colère et colère“, 19 pour cent “incertitude; Les 12% “confiance”; 11 pour cent “déception”; et 10%, “peur”.

L’enquête a mesuré la perception de l’orientation du pays avec les mesures de Milei, auxquelles le 51 % le considèrent comme un « mauvais » plan et 48 % comme « correct ».

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