Le nouveau cycle d’expositions du Musée de la Femme

Le nouveau cycle d’expositions du Musée de la Femme
Le nouveau cycle d’expositions du Musée de la Femme
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Les salles de l’Espace Culturel Musée de la Femme (Rivera Indarte 55) recevra trois nouvelles expositions collectives. L’inauguration des propositions aura lieu vendredi prochain, à 19 heures. L’événement mettra en vedette le groupe de rock fusion live. Groupe de charançonscomposée par Lua Daniele, Gaetano Milone et Matias Giordano. L’entrée est gratuite et ouverte.

Les échantillons qui seront ouverts au public sont : « L’avenir derrière. Imaginaire politique après le déclenchement de 2001 » ; « La musique la plus merveilleuse » et « Pogo au MUMU ». Les œuvres peuvent être visitées du mardi au samedi, de 10h à 19h, jusqu’au samedi 21 septembre.

Tout d’abord, « L’avenir derrière. Imaginaire politique après l’épidémie de 2001. L’exposition rassemble diverses productions : photographies, installations, cartes et vidéos, avec la participation de plus de 60 groupes et artistes, et d’une grande équipe de commissaires. L’exposition récupère les multiples voix et expériences qui deviennent centrales à cette époque. Les matériaux, situés dans les salles 5, 6, 7 et 8, proviennent d’actions, la plupart du temps menées collectivement ou anonymement, par différents groupes militants, assemblées populaires, clubs de troc, usines récupérées et mouvements sociaux.

Disposée dans les salles 1, 2 et 3, se tiendra l’exposition « La musique la plus merveilleuse ». Le collectif artistique Polifonías y desbordes, composé de Gabriela Sol Morales, Manuel Pascual, Mercedes Vargas, propose, à travers la broderie et le collage, trois moments : le bonheur du peuple, les échos et l’iconographique. L’œuvre s’inspire des lettres du peuple argentin adressées à Juan et Eva Perón, l’exposition revisite une expérience culturelle et politique qui survit et insiste sur ses manières d’être nommée et comprise.

Dans l’auditorium, « Pogo au MUMU » sera réalisé par le collectif Carbonillas Projekt. Le long de 10 mètres de mur, Les Carbonillas puisent dans les résonances des autres productions avec lesquelles elles cohabitent et avec celles du lieu lui-même. Une intervention qui situe la pratique du dessin et teste des formes collaboratives de création. Le collectif place la pratique du dessin dans une intervention qui teste les pratiques collaboratives à travers le dessin.

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