Projections du changüí et de ses traditions de danse musicale face à la colonisation culturelle – Radio Guantánamo

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Le colloque Rafael Inciarte Semences, parallèles et projectionsse déroule à Guantánamo comme l’un des principaux espaces théoriques du XI FESTIVAL NATIONAL DE CHANGÜÍ ELIO REVÉ MATOS 2024. Les participants cubains et étrangers présentent diverses recherches sur les positions du changüí au carrefour de la colonisation culturelle.

Attirés par le rythme traditionnel de Guantanamo, les musiciens, chercheurs et autres intéressés viennent de La Havane et des États-Unis, fondamentalement ceux qui réfléchissent sur la permanence du genre de la musique de danse et sur le travail des cultistes et des peñas Changüiseras, comme cette tradition est reconnu comme patrimoine immatériel de la nation cubaine. Tous invités aux célébrations par l’intermédiaire du Centre d’information musicale Rafael Inciarte, du Centre provincial de musique Luis (Lilí) Martínez Griñán.

La présentation Changüí 3.24 : Un regard sur le passé, le présent et l’avenir du changüí pendant trois siècles (ou plus) de son existence, par Benjamín Lapidus, PhD, musicologue, City University of New York, est d’un grand intérêt. (CUNY).

Dans la salle Antonia Luisa Caba, dans la ville de Guaso, La Guantanamería : Gène et sympathie, Il s’agissait de la conférence inaugurale du Colloque, donnée par le MSc. Yurién Heredia Figueras, musicologue au Centre de recherche et développement de la musique cubaine.

La pertinence de ces réflexions pour l’exécution de politiques culturelles favorables au patrimoine des peuples, comme dans le cas du changüí face au carrefour de la colonisation culturelle, et des alternatives de la musique du Sud face aux nouvelles technologies et l’industrie de la musique, ont été mis en avant lors de l’ouverture du MSc. José Cuenca Sosa, coordinateur général du Festival et président du Colloque.

Le programme comprend également des présentations L’avenir commence aujourd’hui. Projet de cours de danse changüí pour enfants (Hugo Pérez Pichardo), Changüí 3.24 : Un regard sur le passé, le présent et le futur de Changüí pendant trois siècles (ou plus) de son existence (Dr Benjamín Lapidus, musicologue, City University of New York. (CUNY), et Aspects de la vie et de l’œuvre d’un manigua tresero (Dr Adela Gómez Blanco et ingénieur Roberto Warner Norman, projet El Patio de Adela).

Dans la section dédiée aux Traditions en projection, est prévu un échantillon de matériel audiovisuel (Leonardo Milano et Janluca Tramontana), suivi des présentations Enseigner le cavercelo aux nouvelles générations de musiciens (Msc. María Monier Ribeaux, professeur au Conservatoire de Musique José María Ochoa, Holguín), et Du chant à la danse (MSc. Ena Márquez Silveira, directrice de l’École des professeurs d’art de Guantánamo).

Également compris La clé invisible du changüí (Lic. Jorge Zamora Pellicier, Association des pédagogues de Cuba, branche de Guantanamo), et Le sucu suco en personne (Groupe Mongo Rives et son Septuor Criollo, Isla de la Juventud).

Parmi les autres invités du Festival Changüiseros se trouve Yaima Blanco, qui a partagé sur son profil Facebook quelques instants avant son départ pour la ville de Guaso.

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