Contreras exclut un “tournant” de l’INDH après avoir affirmé que les violations de l’épidémie n’étaient pas “systématiques” | National

Contreras exclut un “tournant” de l’INDH après avoir affirmé que les violations de l’épidémie n’étaient pas “systématiques” | National
Contreras exclut un “tournant” de l’INDH après avoir affirmé que les violations de l’épidémie n’étaient pas “systématiques” | National
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“Je pense qu’il n’y a pas eu de violations systématiques des droits de l’homme.” Après avoir prononcé cette phrase dans le programme Tolérance Zéro, Consuelo Contreras a exclu qu’il y ait un « tournant » par rapport à ce que l’INDH a envisagé en 2019 à ce sujet.

La directrice de l’INDH, Consuelo Contreras, Il a nié qu’il y ait eu un quelconque changement de la part de l’organisation concernant les violations des droits de l’homme commises lors de la crise sociale.

L’assistante sociale a suscité la polémique en soulignant dans le programme Tolérance Zéro que ces violations n’étaient pas systématiques.

« Je crois qu’il n’y a pas eu de violations systématiques des droits de l’homme, car pour qu’il y ait une systématicité, il faut un accord entre les différents organes de l’État »dit Contreras. Bien sûr, il pensait que ces événements étaient « généralisés ».

Cette position est similaire à celle avancée par l’ancien directeur de l’Institut national des droits de l’homme, Sergio Micco, qui a fini par quitter ses fonctions après avoir reçu diverses critiques pour ne pas avoir pris en compte la systématicité.

Dans la même émission, Contreras a déclaré que Micco « Il a dit ou dit que (les violations des droits de l’homme) ne sont ni systématiques ni généralisées. Je pense qu’ils ne sont pas systématiques, mais il faudrait enquêter s’il existe des tendances.

Contreras exclut un « tournant » de l’INDH

A travers une lettre envoyée à El Mercurio, la directrice de l’INDH a assuré que ses déclarations « Cela ne signifie en aucun cas qu’il n’y a pas eu de violations graves et massives des droits de l’homme, comme l’a décrit unanimement le Conseil de l’INDH en 2019. »

“Cela ne signifie pas non plus que ces violations ne peuvent pas constituer des crimes contre l’humanité”, a-t-il ajouté. A la suite de ce dernier, il a expliqué que le Statut de Rome indique qu’un crime contre l’humanité est commis lorsqu’il est systématique ou généralisé. « Les deux ne doivent pas coexister copulativement »dit Contreras.

“Bien que le Conseil de l’INDH ait établi en 2022 que, jusqu’à ce moment, il n’y avait pas d’éléments suffisants pour déposer une plainte pour crimes contre l’humanité, cette qualification relève aujourd’hui de la justice”, a-t-il ajouté.

Finalement, refus d’un « virage » de l’Institut national des droits de l’homme dans cette affaire.

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