« Ces attaques sont le résultat de mois de haine et de calomnie savamment orchestrées par [La France Insoumise] et d’autres,” https://twitter.com/rglucks1/status/1785613155051196521 après l’incident.
Le parti d’extrême gauche La France Insoumise et le Parti communiste ont tous deux accusé Israël d’avoir perpétré le génocide à Gaza ; Glucksmann a refusé d’utiliser le terme de génocide et a qualifié le soutien à la Palestine de « point de vue ».
S’exprimant après l’attaque, Glucksmann a qualifié d’antidémocratiques ceux qui l’avaient harcelé, ajoutant qu’il ne voyait aucun problème à condamner le Hamas tout en « luttant pour que le carnage à Gaza cesse ».
À la suite de l’incident, le leader de LFI, Jean-Luc Mélenchon, a déclaré qu’il n’était pas d’accord avec l’expulsion de Glucksmann de la manifestation, mais a ajouté que les actions du leader socialiste avaient contrarié les partisans de LFI. J’ai aussi https://twitter.com/JLMelenchon/status/1785686602959700226 pour avoir accusé des militants de LFI de l’avoir expulsé de la marche.
Plus tôt ce mois-ci, Manuel Bompard, coordinateur de LFI, a déclaré que Glucksmann perdait « 2 000 abonnés par semaine à cause de Gaza sur Instagram », ajoutant qu’il perdait progressivement le segment de la jeunesse qu’il avait capturé sur la question ouïghoure « en refusant de parler du génocide ». [in Gaza].»
Quelque 200 000 manifestants sont descendus mercredi dans les rues des villes françaises, selon Sophie Binet, secrétaire générale de la fédération syndicale française CGT.