Panneau d’affichage des films : toutes les premières films de cette semaine (14-16 juin)

Panneau d’affichage des films : toutes les premières films de cette semaine (14-16 juin)
Panneau d’affichage des films : toutes les premières films de cette semaine (14-16 juin)
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Ce week-end, c’est l’heure de Pixar, et arrive la suite de l’un de leurs films les plus réussis de ces dernières années, “À l’envers 2”, dans lequel la vie de Riley – le protagoniste de l’original – prend un tournant en entrant dans une étape aussi déroutante que l’adolescence, faisant fleurir de nouvelles sensations. De plus, des classiques tels que Russell Crowe et Sean Penn reviennent respectivement avec « Shadows of the Past » et « Asphalt City », ainsi que le nouveau film post-apocalyptique de Milla Jovovich, « Breathe ». A noter également « Perfect Lives », avec Jessica Chastain et Anne Hathaway.

  • “À l’envers 2”
  • « Des vies parfaites »
  • « Les ombres du passé »
  • ‘Respirer’
  • “Le ciel rouge”
  • « Frontière verte »
  • « Ville d’asphalte »
  • « La patrie perdue »
  • ‘Drapeau’
  • « Eurêka »
  • “Le premier regard”
  • “Benedetti, soixante ans avec la lumière”

“À l’envers 2”

  • Durée : 100 minutes
  • Réalisateur : Kelsey Mann

Suite de « Inside Out » (2015). Riley entre dans l’adolescence et le quartier général subit une rénovation soudaine pour laisser place à quelque chose de totalement inattendu : de nouvelles émotions ! Joie, Tristesse, Colère, Peur et Dégoût, avec des années de gestion impeccable derrière eux (selon eux…) ne savent pas très bien quoi ressentir lorsque l’Anxiété apparaît. Et il semblerait qu’elle ne vienne pas seule.

« Des vies parfaites »

  • Durée : 93 minutes
  • Réalisateur : Benoît Delhomme

Alice (Jessica Chastain) et Céline (Anne Hathaway) profitent de leur vie idyllique avec leurs enfants respectifs et leurs maris à succès. Ce sont les meilleurs amis et voisins. L’harmonie parfaite de leur vie est soudainement rompue après un tragique accident. Une combinaison de culpabilité, de suspicion et de paranoïa détruit le lien entre Alice et Céline, conduisant à une dure bataille psychologique lorsque leurs deux instincts maternels révèlent leur côté obscur pour défendre leurs proches.

« Les ombres du passé »

  • Durée : 110 minutes
  • Réalisateur : Adam Cooper

Un ancien détective des homicides (Russell Crowe) souffrant de perte de mémoire revient sur une vieille affaire impliquant le meurtre brutal d’un professeur d’université. Alors qu’il suit un nouveau traitement contre la maladie d’Alzheimer, son enquête révélera de nouveaux indices et des secrets effrayants du passé.

‘Respirer’

  • Durée : 93 minutes
  • Réalisateur : Stefon Bristol

Les réserves d’air sont limitées dans un avenir proche, obligeant une mère et sa fille à se battre pour survivre lorsque deux étrangers arrivent désespérément à la recherche d’un abri oxygéné.

“Le ciel rouge”

  • Durée : 102 minutes
  • Réalisateur : Christian Pretzold

Un été chaud et sec, comme tant d’autres ces dernières années. Les incendies de forêt sont incontrôlables. Quatre jeunes se rencontrent dans une maison de vacances au bord de la mer Baltique, non loin d’Ahrenshoop. Lentement et imperceptiblement, ils sont entourés de flammes. Un ciel rouge les surplombe. Ils doutent, ils ont peur, mais pas à cause des incendies ; C’est l’amour qui leur fait peur.

« Frontière verte »

  • Durée : 147 minutes
  • Réalisateur : Agnieszka Holland

Dans les forêts dangereuses et marécageuses qui constituent la « frontière verte » entre la Biélorussie et la Pologne, les réfugiés du Moyen-Orient et d’Afrique qui tentent d’atteindre l’Union européenne sont pris dans une crise géopolitique cyniquement orchestrée par le dictateur biélorusse Alexandre Loukachenko. Dans une tentative de provoquer l’Europe, les réfugiés sont attirés vers la frontière avec une propagande promettant un passage facile vers l’UE. Dans cette guerre cachée, les vies de Julia, une jeune militante qui a renoncé à sa vie confortable, de Jan, un jeune garde-frontière, et d’une famille syrienne se croisent.

« Ville d’asphalte »

  • Durée : 120 minutes
  • Réalisateur : Jean-Stéphane Sauvaire

Ollie Cross est un jeune ambulancier qui, alors qu’il se prépare à l’examen d’entrée à la faculté de médecine, voyage avec Gene Rutovsky dans une ambulance dans les rues de New York. Rutovsky, aguerri au combat et l’un des plus anciens ambulanciers paramédicaux de la ville, sera son partenaire et mentor. De lui, vous apprendrez tout ce dont vous avez besoin pour soigner les patients et survivre à leur chaos quotidien.

« La patrie perdue »

  • Durée : 98 minutes
  • Réalisateur : Vladimir Perisic

Serbie, 1996. Lors des manifestations étudiantes contre le régime de Milosević, Stefan, 15 ans, doit vivre la révolution la plus dure de toutes. Il doit affronter sa mère bien-aimée, porte-parole et complice du gouvernement corrompu contre lequel s’inscrivent ses amis.

‘Drapeau’

  • Durée : 89 minutes
  • Réalisateur : Martín Cuervo

Tomás, un père âgé, a invité à dîner ses deux fils, Jesús et Antonio, pour leur annoncer d’importantes nouvelles, ainsi que Lina, une fille qui l’aide à écrire sa biographie. Les enfants croient qu’il lui arrive quelque chose de grave. Tomas prend son temps pour partager ses nouvelles. Ils découvrent enfin que cela a à voir avec leur héritage et comment cela affecte négativement leurs enfants, ce qui donne lieu à un repas familial plutôt intense et amusant.

« Eurêka »

  • Durée : 146 minutes
  • Réalisateur : Lisandro Alonso

Alaina en a assez d’être policière dans la réserve de Pine Ridge et décide de ne plus répondre à sa radio. Sa nièce Sadie passe une longue nuit à l’attendre, sans succès. Blessée, elle décide de se lancer dans son voyage avec l’aide de son grand-père : elle s’envolera à travers le temps et l’espace jusqu’en Amérique du Sud, elle arrêtera enfin de regarder de vieux westerns en noir et blanc qui ne la représentent en rien, et tout lui semblera différent. Quand il entend les rêves des autres, ceux qui vivent dans la forêt. Mais il n’y aura pas de conclusions définitives…

“Le premier regard”

  • Durée : 74 minutes
  • Réalisateur: Luis E. Parés

Documentaire sur la première école de cinéma d’Espagne. Fondé en 1947 sous le nom d’Institut de recherche et d’expériences cinématographiques (IIEC), il a été rebaptisé en 1962 École officielle de cinématographie (EOC). Née au milieu du régime franquiste, elle fut un havre de liberté et de là sont nés des noms tels que Berlanga, Bardem, Saura, Picazo, Borau, Camus, Martín Patino, Mercero et Erice, ainsi que Manuela González Haba, Helena Lumbreras et María Teresa Dressel. Il est raconté par Pedro Casablanc et Aitana Sánchez Gijón.

“Benedetti, soixante ans avec la lumière”

  • Durée : 80 minutes
  • Réalisateur : Andrés Varela

Mario Benedetti et Luz López se sont rencontrés lorsqu’ils étaient adolescents, il est devenu écrivain et elle est devenue fonctionnaire. Ensemble, ils ont partagé la vie, l’exil, les échecs, le succès, les amis et l’amour. Soixante ans et quatre-vingts livres plus tard, Luz souffre d’Alzheimer, oublie tout son passé et enfin Mario, juste avant de mourir… Le film reconstitue cette mémoire avec un regard tourné vers l’auteur et l’amour qui les unissait.

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