Dans la matinée de ce samedi 4 mai, le Bureau du Procureur général a annoncé la situation juridique selon laquelle une femme accusée d’avoir causé la mort d’une jeune femme en raison d’une pratique irrégulière de liposuccion, dans un salon de coiffure du sud de Bogotá, aura à affronter lors des événements survenus le 15 septembre 2023.
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« D’après les éléments de preuve, la femme n’avait pas de diplôme en médecine et n’était pas qualifiée pour pratiquer des interventions chirurgicales. Elle n’était pas non plus certifiée par les autorités sanitaires pour effectuer des interventions. Il aurait cependant pratiqué une liposuccion sur la victime”, a précisé le parquet.
Pendant l’opération, La jeune femme a eu des convulsions, elle a donc été transportée à l’hôpital.. Là, il est décédé quelques heures plus tard d’un arrêt cardiorespiratoire.
La jeune femme s’était rendue au prétendu centre esthétique, situé dans la ville d’Antonio Nariño, après avoir écouté les témoignages de certaines personnes qui s’étaient déjà rendues sur place.
L’opération aurait coûté sept millions et on dit que la femme a trouvé le cabinet du chirurgien grâce aux réseaux sociaux, où elle a promu l’excellent service et l’expérience dans ce type d’intervention.
Jésus Blanquicet
Éditorial Justice
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