TRIBUNAUX DE CORDOUE | Un homme de 78 ans est reconnu coupable du viol de sa petite-nièce mineure à Cordoue

TRIBUNAUX DE CORDOUE | Un homme de 78 ans est reconnu coupable du viol de sa petite-nièce mineure à Cordoue
TRIBUNAUX DE CORDOUE | Un homme de 78 ans est reconnu coupable du viol de sa petite-nièce mineure à Cordoue
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Un homme de 78 ans est reconnu coupable du viol de sa petite-nièce mineure à CordoueAJ GONZALEZ

Un homme de 78 ans a été condamné à 12 ans de prison pour avoir violé sa petite-nièce mineur. Dans son jugement, rendu par la deuxième section du Tribunal provincial de Cordoue, le tribunal considère qu’il est prouvé que le les agressions sexuelles ont été commises entre 13 et 16 ans ans du mineur.

Compte tenu de « très bonnes relations familiales », ce Il passait les week-ends et certains jours de la semaine au domicile de l’accusé, dans la capitale, car ses parents vivaient dans une autre ville, ce qui lui permettait de sortir avec ses amis et d’aller à l’école plus facilement. Le jugement précise également que la sœur aînée de la victime avait déjà passé quelques séjours chez ses oncles et que la famille s’y rendait régulièrement. La relation de la victime avec son grand-oncle était très étroite et celui-ci lui versait des contributions monétaires. et lui ai acheté des effets, dit-il.

Durant leur coexistence, “sous prétexte de jouer avec le mineur et profitant de son ascendant sur elle”, le prévenu a commencé à exécuter toucher la filleparfois au lit et d’autres fois, sur le canapé à la maison, “et, progressivement, ils ont gagné en intensité“, déclare la phrase.

Le mineur Il a même prévenu l’accusé que s’il poursuivait son attitude, il ne viendrait pas chez lui.. Or, un après-midi de 2019, alors que la victime avait 16 ans et que l’accusé avait 73 ans, il a voulu agresser sexuellement la jeune fille de nouveau et Elle l’a repoussé ce qui l’a fait tomber à terre. L’accusé a réagi violemment et violé la fille. Suite à ces événements, la victime a nécessité une attention psychologique.

Dans ses fondements juridiques, l’arrêt souligne le “crédibilité absolue qui est accordé au témoignage de la victime lors du procès oral. ” Ainsi, il condamne l’accusé pour un crime continu d’agression sexuelle avec l’atténuation des délais excessifs. Entre autres sanctions, il lui interdit de s’approcher de la victime et de communiquer avec elle. d’ici 15 ans, et impose sept ans de probationauquel il ajoute un indemnité de 20 000 euros.

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