Après des mois de conflit, le Club Santa Bárbara est intervenu auprès de la Justice

Après des mois de conflit, le Club Santa Bárbara est intervenu auprès de la Justice
Après des mois de conflit, le Club Santa Bárbara est intervenu auprès de la Justice
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Après les célébrations du 50ème anniversaire, La Direction provinciale des personnes morales a décidé d’intervenir auprès du Club Santa Bárbara. La décision a été prise après un procès intenté par deux associés de l’institution Gonnet. Les plaignants ont déclaré que des élections avaient été convoquées sept mois après l’expiration des mandats. La lutte institutionnelle est ancienne, mais elle a désormais un fort impact sur la Justice. La convocation aux élections était prévue pour le 11 juillet prochain. L’opposition l’a qualifié d’« irrecevable ». Ils ont également déclaré ne pas avoir d’informations sur le nombre de partenaires et l’argent reçu de leur part.

Dans la résolution officielle, qui porte la signature de la directrice du DPPJ Silvia Andre García, il détaille : « Pour donner lieu à la plainte déposée par M. Matías José Busquets et Mme Ana García Munitis, numéro d’enregistrement n° 7091, avec dont le siège social est situé à l’angle 493 S/N de Camino Centenario, dans la commune de Manuel B. Gonnet, district de La Plata, sur la base des considérations factuelles et juridiques qui précèdent.

Les raisons qui motiveraient cette résolution seraient fondées sur des irrégularités et sur l’absence de convocation des élections correspondantes. En ce sens, sur la base de la décision judiciaire à laquelle ces médias ont eu accès, ils se sont fondés sur le fait que : « pour convoquer l’élection des autorités, ils disposaient de trois mois à compter de la date de clôture de l’exercice (31 octobre), en se basant sur ses critères sur les pouvoirs d’interprétation que détient le conseil d’administration sur les articles des statuts sociaux eux-mêmes et de leur règlement.

Ce média est celui qui a rapidement alerté du conflit au sein du club Gonnet. Et même un groupe de partenaires a publié une demande dans laquelle ils exprimaient leur inquiétude quant à ce qui se passait dans l’institution. « Nous sommes préoccupés par le fait que le Conseil d’administration, qui s’est chargé d’organiser la même (fête d’anniversaire), manque de légitimité d’origine et outrepasse ses pouvoirs tels qu’établis dans la résolution 2024-1592 de la Direction provinciale des personnes morales. Par conséquent, nous avons décidé de ne pas participer à l’événement (fête d’anniversaire), car nous ne voulons pas soutenir une célébration organisée sans consultation par un conseil d’administration qui ne respecte pas ce qui est établi par l’organisme officiel et qui n’est pas dans conformément aux principes fondateurs de l’Institution », signé par les associés Mercedes del Luján Moraña, Guillermo Oliverio Sarli, María Alejandra Uzal Lucio Elio Barreda, Silvia Angélica Alba et Eduardo Amilcar Raina.

Selon la résolution des entités juridiques, il a été décidé de nommer les Drs comme co-intervenants normalisateurs. Mauro Ignacio Maceri et Alvaro Larroza « agents du Département des Inspections de cette Direction Provinciale, leur accordant un délai de quatre-vingt-dix (90) jours calendaires à compter de la possession effective du poste pour exercer leurs fonctions, et selon les instructions qui seront données dans dans les meilleurs délais par la Direction de Surveillance, pour réaliser ce qui a été ordonné dans les meilleurs délais par la Résolution RESO-2024-1592-GDEBA-DDPJMJYDHGP du 03/08/2024.

Raúl Arrarás, l’actuel président du club, a eu un entretien approfondi avec ce média il y a quelques jours dans lequel il a expliqué : « Nous avons eu une convocation pour une Assemblée de mi-mandat, qui était dépassée, pour décembre dernier. Un groupe de partenaires a considéré que notre mandat était expiré. Dans ce cas, un article du Statut précise que le mandat est de deux ans, mais un autre stipule que le Conseil doit en faire la demande à l’Assemblée dans les 90 jours suivant l’exercice. C’était le 31 octobre, ce qui signifie que les délais ont été respectés le 31 janvier de cette année ; bien qu’il existe un autre article qui soutient que l’interprétation du Statut correspond à celle du CD.

Il a d’ailleurs souligné à cette occasion : « Nous l’avons expliqué personnellement au groupe de partenaires. Ils ont insisté sur le fait que le mandat était expiré, nous leur avons dit que ce n’était pas le cas et qu’en plus 75 pour cent de l’histoire du club s’était fait avec un mandat expiré, donc en général le 31 janvier il y a la question des vacances, et ils sont faits en février ou mars. Un exemple est mon cas que j’assume pour la première fois en tant que président du club, le 6 mars, en remportant précisément les élections des membres fondateurs lors de la première Assemblée historique du club où il y a eu un acte électoral en tenant compte du fait que celui-ci était également avec un mandat expiré.” .

L’intervention n’interrompra pas le développement de l’activité de hockey féminin ou masculin dans aucune de ses catégories.

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