Céramiques, origami, kimonos et sabre de samouraï, au Centre Culturel Virla

Céramiques, origami, kimonos et sabre de samouraï, au Centre Culturel Virla
Céramiques, origami, kimonos et sabre de samouraï, au Centre Culturel Virla
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L’exposition « Japon secret : trésors du quotidien » peut être visitée le 25 mai 265. La culture orientale s’exprime dans les vêtements, les objets, les techniques de couture, les tissus et broderies, ainsi que les bandes dessinées.

Un sabre katana (épée incurvée à un seul tranchant) typique du samouraï ou un kimono classique, ainsi que des céramiques et même un vitrail dédié à la manche, peuvent être visités au Centre Culturel de Virla (25 mai 265) jusqu’à la fin de la semaine.

Bien sûr, les grues en papier ne manquent pas, l’origami devenu une légende porte-bonheur.

L’exposition « Japon secret : Trésor du quotidien » est présentée par l’association japonaise et présente des vêtements, des objets et des peintures faisant référence à la culture de ce pays ; une approche des richesses matérielles du passé et du présent est indiquée.

Si ce que j’ai soutenu est vrai Roland Barthes Que « tout signifie même si ce n’est pas destiné à signifier », n’est pas le cas de cette culture, où même le plus petit geste, ou une ligne innocente représente quelque chose.

UN KATANA. La célèbre épée tranchante et incurvée utilisée par les célèbres samouraïs est l’une des grandes attractions de l’exposition. photos Jorge Figueroa

Le katana est une épée avec un seul tranchant incurvé et pour beaucoup, sa coupe ne laissait aucune chance à celui qui en souffrait. C’est l’un des favoris de cette exposition, sûrement parce que sa présence au cinéma a été soutenue. Comment ne pas se souvenir de la célèbre scène du film Quentin Tarantino « Kid Bill » (I) lorsque le personnage joué par Uma Thurman Avec l’un de ces sabres, il mène une grande bataille contre plus de 50 assassins yakuza.

Manche

Dans une section spéciale, vous pouvez voir des images de mangas réalisées par l’illustrateur de Tucumán. Céce Plunk: C’est le grand attrait de la bande dessinée ou de la bande dessinée, notamment pour les plus jeunes, qui se développe dans différents groupes urbains.

L’influence du manga sur les expressions artistiques est indéniable. Dans cette ville, il existe des endroits spécifiques où l’on peut trouver ce genre de dessins avec leurs récits.

La méthode Soji : un ancien rituel japonais pour ranger la maison en 15 minutes

Lorsqu’on pénètre dans l’espace central, il vaut parfois la peine de s’arrêter aux vitrines et à la librairie, dans ces espaces où l’on circule sans regarder, et seulement voir.

Là-bas, ces « trésors » du pays de l’Est exposent un passé, même s’il mériterait également une exposition de son impressionnant présent (il suffit de regarder le film de Wim Wenders, “Des journées parfaites”). Récemment, l’auteur de cette progéniture, Alexandra Kamiyaa participé au Mai des Lettres de l’Entité culturelle, avec des histoires qui suggèrent une esthétique contemplative particulière et ont suscité un intérêt.

Légendes

Sadako Sasaki C’était une fille qui a contracté la leucémie à la suite de l’explosion nucléaire d’Hiroshima en 1945. À l’âge de 12 ans, elle entreprit de fabriquer un millier de grues en papier pour que son souhait de se remettre de sa maladie soit exaucé.

De là la légende japonaise de Senbazuru qui dit que quiconque fabrique 1 000 grues en papier verra son vœu exaucé. Les grues sont des oiseaux, bien sûr ; Il s’agit de l’origami, une technique artistique qui, jusqu’à récemment, figurait à l’agenda permanent du Centre Virla. Les grues sont également visibles dans une intervention artistique aux couleurs des drapeaux, signée Kanazawa (ancienne cité des samouraïs).

VÊTEMENTS BRODÉS. Avec une technique spéciale, ils racontent des histoires.

A quelques mètres seulement, on peut voir des céramiques chawan, Centurion chrétien et des tissus sashiko (une couture du 17ème siècle) de Maby Romero. Les raquettes de jeu Haceita ne manquent pas, qui sont encore valables à certaines dates, comme le constatent les experts de leur étude.

tissus brodés

Un autre sujet concerne les poupées et les techniques d’estampage ; les poupées hino. Les karukiri ne peuvent être ignorés dans l’exposition, ainsi que certains tissus spéciaux, des étoffes brodées avec une netteté évidente qui racontent des histoires du pays lui-même.

ORIGAME. Grues en papier aux couleurs des drapeaux.

Un kimono royal est exposé dans l’un des espaces, avec des notes informatives sur les coiffes. Un costume qui reste destiné aux jeunes, aux filles célibataires et aux geishas.

Lettres et cinéma

Dans son livre « L’Empire des signes », Roland Barthes s’efforce de « lire le Japon » et s’intéresse aux salutations, aux haïkus, au bunraku (théâtre de marionnettes), à la nourriture et au décentrement architectural. Un film populaire Sofia Coppola« Lost in Tokyo », raconte dans cette grande ville l’histoire d’une relation complexe entre un homme et une femme, étrangers, sans comprendre la culture où ils se trouvaient.

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