La Fondation Fueguina pour l’Innovation (FINNOVA) a publié un rapport indiquant que la Terre de Feu se positionnait comme la quatrième province avec le taux de fécondité le plus bas du pays avec 1,3 pour cent, devant la ville autonome de Buenos Aires, Cordoue et Neuquén, et a averti que s’il n’y avait pas, les migrations pourraient réduire le population de moitié d’ici 50 ans.
Bien que cela moniteur aussi inclut le fait que la Terre de Feu était la province qui a connu la plus forte croissance démographique en douze ans –46% selon le dernier recensement INDEC 2022 – souligne que cela est dû à un phénomène migratoire. Cependant, en ce qui concerne le faible taux de fécondité, “il reflète une tendance à la baisse observée tant en Argentine que dans le monde”.
« La fécondité d’une femme se traduit par le nombre de filles et de fils nés vivants qu’elle a eu pendant sa période fertile (pratiquement entre 14 et 49 ans). Au niveau national, on compte 12 382 860 femmes âgées de 14 à 49 ans. Parmi eux, 57,5% avec des enfants nés vivants et 42,5% sans enfants. Du premier pourcentage (7 126 256 femmes), on déduit que le taux de fécondité est proche de 1,4 enfant par femme », explique le document.
Et il ajoute : «La Terre de Feu a le quatrième taux de fécondité le plus bas du pays, ce qui contraste nettement avec sa position de province ayant connu la plus forte croissance démographique entre les deux derniers recensements, tirée principalement par les migrations. D’après les calculs effectués, si S’il n’y avait pas de migrations, la population de la Terre de Feu pourrait être réduite de moitié en 40 à 50 ans.».
Contrairement à l’île, il détaille également que Santiago del Estero, Misiones et Formosa sont les provinces qui ont enregistré le plus grand nombre d’enfants par femme avec 1,7%. Ils sont suivis par San Juan, Salta, Jujuy, Chaco et Corrientes (1,6%).
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